Une question se pose de plus en plus souvent ces temps-ci : jusqu’où faut-il aller pour connaître une chose ? Faut-il l’ouvrir jusqu’à songer toucher à son « essence » ou bien, au contraire, vaut-il mieux rester en surface en interrogeant ses traits les plus superficiels ? Dans son étude sur les flacons de ...
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Lettre du séminaire