Recrutement d'un.e post-doc

Date limite : 08 décembre 2021
Dans le cadre du projet ANR EN-MIG "Enfants en décolonisation. Migrations contraintes et construction individuelle (France - 1945-1980)", l'Université d'Angers recrute un.e post-doc pour une mission de 27 mois à compter du 1er mars 2022.

Caractéristiques du contrat :

Date d’affectation souhaitée sur le poste: 01/03/2022
Durée du contrat : 27 mois
Quotité de travail : 100%
Rémunération brute mensuelle : 2 945€
Lieu d’affectation : Université d'Angers
Le projet ANR EN-MIG « Enfants en décolonisation : migrations contraintes et construction individuelle (France – 1945-1980) » porte sur les migrations contraintes impliquant des enfants des différentes parties de l’empire
colonial français en décomposition, en premier lieu l’Indochine, l’Algérie, Madagascar, mais aussi l’Afrique subsaharienne et des territoires ayant connu une décolonisation sans indépendance (départements d’outremer
par exemple). Porté par l’UMR9016 TEMOS (Temps, Mondes, Sociétés - CNRS, Universités d'Angers, Bretagne Sud, Le Mans), à l’Université d’Angers, le projet EN-MIG se déroulera de janvier 2022 à décembre
2024, sous la direction scientifique d’Yves Denéchère, professeur d’histoire contemporaine à l’Université d’Angers, en collaboration avec Raphaëlle Branche (Université Paris Nanterre, UMR ISP) et Violaine Tisseau
(CNRS, UMR IMAF). EN-MIG vise à comprendre les ressorts individuels de l’intégration dans la société d’accueil chez des enfants et des jeunes soumis à un déplacement en contexte de crise. En ce sens, il interroge historiquement les effets
des biopolitiques postcoloniales sur la construction personnelle des enfants en mobilité. Les différents types de migrations d’enfants sont interrogés la fois comme source de vulnérabilité et comme support de
construction de leur autonomie afin de saisir comment les enfants et adolescents naviguent entre contraintes et opportunités. En s’appuyant sur des travaux préparatoires lancés par les trois UMR partenaires (TEMOS,
ISP, IMAf), l’hypothèse qui sous-tend cette recherche est que la construction individuelle des enfants ayant subi des déplacements contraints résulte d’une articulation entre la relation au cadre et à l’environnement
(politiques de racisation, organisation de la prise en charge, lieu et type d’hébergement...), la relation aux autres (familles, parents, frères et soeurs, éducateurs.trices religieux ou laïcs...) et les processus
d’identification (race, genre, pays d’origine, climat et nourriture, langue et culture, changements de prénoms, famille restée au pays...).


Trois axes de recherche seront déployés :

1 - la dimension postcoloniale des déplacements d’enfants métis ;
2 - La relation familiale à l’épreuve des mobilités contraintes de la décolonisation ;
3 - L’intégration des enfants déplacés : (re)composition des trajectoires au regard de l’âge et du genre.
Une thématique transversale portera sur les changements de prénom (renomination) en tant que processus de construction subjective des enfants déplacés.
EN-MIG se situe ainsi au croisement de plusieurs champs de recherche qui ont été séparément déjà bien travaillés (jeunesse et construction des empires, enfances en guerre, migrations) mais
dont l’intersection souffre d’un manque de travaux. Le choix méthodologique principal d’EN-MIG est de proposer une histoire s’appuyant sur les archives
disponibles, ainsi que sur les récits que les personnes concernées ont produits en avançant en âge. Il s’agit de faire une histoire à hauteur des principaux protagonistes. Pour ce faire une grande importance sera
accordée à leurs voix, à leurs paroles, qu’elles soient exprimées dans l’enfance ou différées à l’âge adulte. Outre un recensement des sources disponibles, cette approche implique la réalisation d’une base de données
rassemblant l’ensemble de la production des récits, témoignages publiés, témoignages audio-visuels des personnes concernées par ces déplacements, mais aussi les traces de soi et ego-archives telles que carnets,
journaux intimes, dessins, photographies.
La réalisation et l’alimentation de cette base de données fait l’objet de la présente offre de contrat post-doctoral. Le/la post-doctorant·e, épaulé·e par l’ensemble de l’équipe, travaillera sous la responsabilité
d’Yves Denéchère et d’Aurélie Hess (ingénieure d’études CNRS en production, traitement et analyse de données, TEMOS).


Missions et activités

- Contributions aux activités de recherche et participation aux réunions de coordination du projet EN-MIG.
- Réalisation d’une base de données :
Recensement exhaustif des modalités d’expression des mémoires des enfants déplacés. Conception de l’architecture et développement de BDD, choix scientifiques, choix techniques (format des
données, hébergement des données, modalités d’accès restreinte à l’équipe). Recensement et indexation des témoignages publiés, témoignages audio-visuels, rapports de terrains
scientifiques, traces de soi et ego-archives telles que carnets, journaux intimes, dessins, photographies, etc.
- Analyse qualitative des corpus de la BDD, afin d’irriguer les 3 axes de recherche et la thématique transversale.
- Participation aux moments de restitution de la recherche auprès des personnes concernées
- Rédaction et publication de travaux de recherche, articles de revue notamment
- Activités de diffusion de la recherche : Carnet Hypothèses, journées d’études et workshops
- Mise à disposition en open access d’un catalogue de ressources documentaires

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Concours CNRS soutien IDHE.S

réunion d’information le 22 novembre à 15h
Les membres de l'IDHE.S (UMR 85 33) seraient heureux de soutenir les candidats qui désirent rejoindre leur unité de recherche.
Dans le cadre de la campagne de recrutement du CNRS 2022, les candidats qui souhaitent le soutien du laboratoire doivent envoyer leur CV et leur projet (à défaut un résumé détaillé) pour le 29 novembre aux adresses suivantes : karel.yon@parisnanterre.fr et flepende@parisnanterre.fr
Le laboratoire organise une réunion d’information le 22 novembre à 15h , pour recevoir les candidat.e.s, leur présenter le laboratoire et le fonctionnement du concours.
Zoom - Campagne CNRS 2022 présentation de l’IDHES - Heure : 22 nov. 2021 03:00 PM Paris


Participer à la réunion Zoom
https://cnrs.zoom.us/j/96839192749?pwd=eWpVbUpMUE5wRDB6SGNEMTFONHdKUT09

ID de réunion : 968 3919 2749
Code secret : 1Sb2h1

Le laboratoire IDHES est pluridisciplinaire et peut donc soutenir des candidatures dans plusieurs sections : 33 (rattachement principal) mais aussi 32, 33, 36, 37 et 40 et également en CID. Les projets interdisciplinaires sont évidemment les bienvenus. Les axes de recherche et le projet scientifique sont détaillés ici : https://www.idhes.cnrs.fr/category/recherche/projet-scientifique-2019-2023/
 
Les candidatures seront examinées en Conseil de laboratoire et feront l'objet d'un soutien personnalisé le cas échéant.
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CHS : concours CNRS - section 33 et 39

Date limite : 1er décembre 2021

Les membres du Centre d’histoire sociale des mondes contemporains (CHS, UMR 8058) seraient heureux d’aider et de soutenir les candidat.e.s souhaitant rejoindre leur unité de recherche (section 33 à titre principal et section 39 à titre secondaire).

Dans le cadre de la prochaine campagne de recrutement du CNRS 2021, les candidat.e.s aux concours de chargé de recherche sont invité.e.s à nous envoyer avant le 1er décembre 2021 leur projet de recherche (ou sa version en cours de rédaction), leur CV et leur rapport de soutenance, ainsi qu’une brève lettre de motivation mettant en relief les liens de leur projet de recherche avec les axes thématiques du laboratoire.

@ : emmanuel.bellanger@univ-paris1.fr ; isabelle.lespinet-moret@univ-paris1.fr ; camille.bourdiel@univ-paris1.fr

Les dossiers seront examinés par le conseil de laboratoire et les candidat.e.s seront accompagné.e.s par des membres de l’unité, dans la finalisation de leur projet de recherche et la préparation aux auditions.

Le Centre d’Histoire Sociale des mondes contemporains (Université Paris 1/CNRS) a intégré depuis 2019 le Campus Condorcet (http://histoire-sociale.cnrs.fr).

L’histoire sociale constitue la matrice du laboratoire fondé en 1966 par Jean Maitron. Les recherches menées au sein de l’unité s’efforcent d’éclairer l’histoire sociale, culturelle, urbaine et politique des sociétés contemporaines. Ses questionnements se sont renouvelés autour de grandes thématiques : l’histoire du travail, l’histoire des sociétés urbaines, l’histoire sociale des conflits et des guerres, l’histoire des migrations et des sociétés coloniales et postcoloniales, l’histoire sociale des représentations, l’histoire des mouvements sociaux, de la militance et de la politisation des mondes populaires.

Quatre axes de recherche structurent l’activité scientifique du laboratoire :
- « Pouvoirs, contre-pouvoirs, engagements et conflits »
- « Environnement, ville et sociétés urbaines »
- « Travail, santé, loisirs »
- « Sociétés culturelles, média(tisa)tions, diffusions »

Les questions relatives aux dimensions du genre et à la diversité des groupes sociaux et de leurs organisations, aux transformations des territoires, aux enjeux environnementaux et aux formes de socialisation, au travail et dans la ville, forment le terreau commun des recherches des membres du laboratoire.

L’unité est également un laboratoire d’intervention sociale et de diffusion de la recherche auprès d’un large public.

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AAC | Guerre et souveraineté

Date limite : 31/01/2022

Guerre et souveraineté.

Revisiter un débat canonique par l’interdisciplinarité

7-9 juin 2022
Université Panthéon-Sorbonne
Sorbonne – Amphithéâtre Oury et Richelieu
Paris
Participant du décloisonnement des études sur la guerre dans le cadre du programme Sorbonne War Studies de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (https://cessp.cnrs.fr/Programme-Sorbonne-War-Studies-SWS-ERC). cet appel à communications propose de revisiter de façon interdisciplinaire le lien entre guerre et souveraineté à travers la transformation de l’État et des pratiques de gouvernement en matière de sécurité.
Expression de forces à l’oeuvre dans toutes les sociétés humaines, l’activité guerrière est une modalité parmi d’autres de l’action politique. Le postulat d’une nécessaire banalisation épistémologique de cette activité collective entraîne deux difficultés notables. Si le phénomène guerrier est ordinaire, au sens de routinier dans l’histoire, il est pourtant difficile de la saisir en entier dans une définition compréhensive qui rende compte de ses formes nombreuses et de ses dynamiques singulières. Il est par ailleurs contre-productif de l’observer en l’isolant du contexte politique, économique et social dans lequel il surgit, car ce contexte contribue précisément à son surgissement et à son déploiement, à toutes les échelles de temps et d’espace. Le défi consiste donc à appréhender la guerre sans présupposer une quelconque exceptionnalité au regard des relations sociales et de la soumettre à une méthode d’analyse déchargée de toute connotation péjorative, méliorative ou performative. La guerre a, en outre, ses définitions classiques : acte de violence destiné à contraindre l’adversaire à exécuter notre volonté (Clausevitz 2014), limité dans le temps et l’espace et soumis à des règles juridiques variables (Bouthoul 1957) qui permettent à deux ou plusieurs groupes de mener ce conflit armé (Wright 1942). Dans ces définitions, marquées par la centralité de la violence organisée, l’Etat est souvent implicitement ou explicitement considéré comme l’acteur unique ou principal, en tout cas comme le plus digne d’observation (Aron 1962).
La réalité empirique déborde toutefois le périmètre des définitions classiques. Comment s’y retrouver entre, les désignations typologiques (‘guerre civile’, ‘interétatique’, ‘limitée’, ‘totale’, ‘révolutionnaire’, ‘nucléaire’, ‘asymétrique’, hybride’) ou fonctionnelles (‘urbaine’, ‘cyber’, ‘de l’espace’, ‘de religion’, voire ‘économique’, ‘psychologique’) des praticiens, l’inflation des “studies” (war, strategic, defense, security, intelligence etc…) et le foisonnement des qualificatifs désormais associés au risque et à la ‘sécurité’ (humaine, environnementale, économique, sanitaire, etc.) plutôt qu’à la menace et à la guerre chez les théoriciens ?
L’exploration interdisciplinaire du lien entre guerre et souveraineté incite à interroger la transformation de l’exercice de la souveraineté, mais également, l’organisation des sociétés humaines. Bien que la guerre soit classiquement conçue comme un mode de relations - certes particulier - entre des Etats, de nombreux auteurs relèvent depuis longtemps qu’elle implique aussi des acteurs non gouvernementaux infra-étatiques, supra-étatiques voire trans-étatiques, parfois privés (Flint 2005 ; Leander 2005 ; Gros 2006 ; Strachan et Shiepers 2011 ; Kaldor 2012). Cette tendance est le reflet
d’une évolution plus profonde marquée par un bousculement de nos repères concernant la territorialité westphalienne et l’appréhension wéberienne de la légitimité étatique, et un redéploiement de la place des Etats dans la dynamique des sociétés (Agnew 1994 ; Castells 1996, Sassen 1995 ; Strange 1996 ; Hibou 1999).
Les États se sont donné mutuellement des garanties de survie sans précédent, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et tout au long du processus de décolonisation. Ils ont, en ce sens, puissamment consolidé la norme de souveraineté et ses corollaires en général (Badalassi 1994 ; Biersteker et Weber 1996; Dardot et Laval 2020), et dans le cadre de la guerre en particulier (Glanville 2013 ; Patrick 2019). En droit, le principe de souveraineté fonde la définition moderne de l’Etat et renvoie à la puissance de commandement, au-dessus de laquelle ne se trouve aucune autre puissance. Ce principe s’applique dans le champ politique interne et dans le champ externe. Dans le premier cas, un Etat est souverain dans la mesure où il exerce sur un territoire donné une domination légitime, inaliénable et impersonnelle (Weber 2003). Dans son territoire, il fait et défait les lois, il les exécute, il rend la justice, recourt à la force… Dans le champ externe, l’Etat souverain jouit en théorie d’une reconnaissance par les autres Etats, sur le plan diplomatique et militaire et dans l’ordre juridique international.
Il ne s’agit pourtant que d’une définition parmi d’autres de la souveraineté. La souveraineté selon Bodin (1576) et Hobbes (1651) ne se superpose pas en effet à la souveraineté du contrat social de Rousseau (1762), ni à celle de Sieyès (1789). La souveraineté de l’Etat ne se confond pas nécessairement avec celle du peuple ou avec celle de la nation, même si la formation du concept d’Etat-nation vise précisément à faire coexister ces deux souverainetés. Un éclairage socio-historique s’avère donc indispensable pour révéler le concept juridique d’Etat (Elias 1994 ; Chevallier 2003 ; Tilly 1992) et, partant, pour révéler ses attributs, dont celui de « vouloir » et de « faire » la guerre.
Le modèle de l’Etat-nation souverain demeure largement dominant comme cadre et contenant des pratiques sociales, mais la souveraineté des Etats est renégociée sous l’effet de tendances de fond qui transforment les manières de concevoir, de préparer, de commencer et de mener les guerres : le tournant néolibéral et néomanagériale, la mondialisation et l’interdépendance des économies, la globalisation financière, la multiplication d’acteurs non étatiques dont le déploiement transgresse le maillage des Etats et l’affirmation d’organisations réticulaires, les régionalismes à différents niveaux, le renforcement de certaines institutions internationales… Et la guerre contribue elle aussi à redéfinir les contours et les modalités d’exercice de la souveraineté, dans les champs interne et externe des relations politiques. Dans cette perspective, il est nécessaire de porter une attention particulière entre autres aux relations entre la souveraineté des Etats et leur manière d’envisager ou de faire la guerre dans des espaces incertains peu ou pas territorialisés, tels que la haute mer, l’espace extra-atmosphérique et le cyberespace. Les propositions de communications interdisciplinaires sur ces aspects seront les bienvenues.
Ce sont les effets de ces tendances sur la dialectique guerre/souveraineté que ce colloque entend analyser. Les propositions empruntant ou discutant des concepts, des méthodes et des théories à d’autres disciplines, ou celles portées par deux ou plusieurs spécialistes de disciplines différentes sont vivement encouragées. Les propositions de communication feront 5 000 à 6 000 signes. Elles seront précédées d’un résumé de 100 mots et suivies d’une liste de 5 références bibliographiques. Elles seront envoyées à Yann Richard (Yann.Richard@univ-paris1.fr) avant le 31 janvier 2022. Le comité scientifique rendra son avis avant le 1er mars 2022.
Comité scientifique
Alya AGLAN, Yves BUCHET DE NEUILLY, Olivier FEIERTAG, Olivier FRUTEAU DE LACLOS, Louis GAUTIER, Annie Lou COT, Caroline MORICOT, Olivier RENAUDIE, Yann RICHARD, Stéphane RODRIGUES
Indications bibliographiques
- Agnew, J., 1994, “The territorial trap. The Geographical Assumptions of International Relations Theory”, Review of International Political Economy, vol. 1, n° 1, 1994, pp. 53-80
- Aron, R., 1962, Paix et guerre entre les nations, Paris, Calmann-Lévy
- Badalassi, N., 2014, En finir avec la guerre froide, Rennes, PUR
- Biersteker, T., Weber C. (eds), 1996, State Sovereignty as Social Construct, Cambridge, Cambridge University Press
- Bodin, J., 1576, Les Six livres de la République, 1986, Paris, Fayard
- Bouthoul, G., 1957, La guerre, Paris, PUF - Castells, M ., 1996, The Rise of the Network Society. The Information Age: Economy, Society and Culture Vol. I. Cambridge, Massachusetts, Oxford, UK, Blackwell
- Chevallier, J., 2003, L’Etat de droit, Paris, Montchrestien - Clausewitz, C. von , 2014, De la guerre, Paris, Astrée
- Dardot, P., Laval, C., 2020, Dominer. Enquête sur la souveraineté de l’État en Occident, Paris, La Découverte
- Elias, N., 1994, La dynamique de l’occident, Paris, Calmann-Lévy
- Flint, C., 2005, Geography of War and Peace, Oxford University Press, Oxford
- Glanville, L., 2013, Sovereignty and the Responsibility to Protect: A New History, Chicago, Chicago University Press
- Gros, F., 2006, Etats de violence. Essai sur la fin de la guerre, Paris, Gallimard
- Hibou, B., 1999, La privatisation des États, Paris, Karthala
- Hobbes, T, 1651, Le Léviathan, 2000, Paris, Folio.
- Kaldor, M., 2012, New and Old Wars: Organized Violence in a Global Era, Cambridge, Polity Press
- Leander, A., 2005, “The Power to Construct International Security : On the Significance of Private Military Companies”, Millennium, vol. 33, n° 3, pp. 803-825.
- Patrick, S., 2019, The Sovereignty Wars. Reconciling America with the World, Washington, Brooking Institution Press
- Rousseau, J.J, 1762, Du contrat social, 2011, Paris, Flammarion,
- Sassen, S., 1995, Losing Control : Sovereignty in an Age of Globalisation, New York, Columbia University Press
- Sieyès, E., 1789, Qu’est-ce que le Tiers Etat ? 2009, Paris, Broché
- Strachan, H., Shiepers, S. (eds), 2011, The Changing Character of War, Oxford, Oxford University Press
- Strange, S., 1996, The Retreat of the State : the Diffusion of Power in the World Economy, Cambridge University Press, Cambridge
- Tilly, C., 1992, Contrainte et capital dans la formation de l’Etat en Europe 990-1990, Paris, Aubier
- Weber, M., 2003, Economie et société, Paris, Pocket
- Wright, Q. , 1942, A Study of War, 2 vol., Chicago, University of Chicago Press
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Aide à la recherche du Sénat

Date limite : 16 janvier 2022

Session 2022

Prix de thèse du Sénat Bourse de recherche (désormais cumulable avec un autre mode de financement) (-contrat doctoral...-  )/ Prix de la Fondation Jacques DESCOURS DESACRES.

Le Sénat et la recherche universitaire

Le Sénat soutient la recherche universitaire sur le Parlement et l'organisation des pouvoirs publics.

Thèses sur le bicamérisme, l'institution sénatoriale ou les collectivités locales

Le Prix de thèse du Sénat récompense l'auteur d'une thèse achevée, en la publiant aux éditions DALLOZ.

En savoir plus : www.senat.fr/connaitre/prix_de_these/index.html

Bourse de recherche

La bourse de recherche du Sénat soutient un doctorant, inscrit en première année de thèse. Elle est cumulable avec un autre financement.

En savoir plus :
www.senat.fr/connaitre/prix_de_these/bourse_de_recherche.html

Thèses sur les finances publiques, la fiscalité, les finances locales ou la gestion publique locale

Le prix de la Fondation Jacques Descours Desacres, décerné une année sur deux, récompense l’auteur d’une thèse achevée, en la publiant aux éditions DALLOZ.

Le prix sera remis en 2022.
En savoir plus : www.senat.fr/connaitre/prix_de_these/prix_jacques_descours_desacres.html

La date limite de dépôt des candidatures est fixée au
dimanche 16 janvier 2022 à 22 heures.

Contact : prixdethese@senat.fr

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