São Paulo – Engagement politique

Le graffiti politique est né au Brésil comme forme de résistance à la dictature miliaire (1964-1985). Il a ensuite proliféré en démocratie pour dénoncer la violence urbaine, les inégalités et la corruption. De nombreux artistes livrent par ailleurs des messages plus profonds concernant le politique dans leur pays.

« Interdit d’interdire » (hommage à Mai 68)

« Pense par toi-même »

« Ne vote pas, sabote »

« Mon nom est chaos »

« São Paulo va s’arrêter ». « 4 reais c’est du vol »

« Discorde »

« São Paulo ne manque pas d’eau » (Alckmin, gouverneur). « Je ne te viole pas parce que tu ne le mérites pas » (Bolsonaro, président)

« De bonnes choses arrivent ici »

« Comment est-il possible que la majorité obéisse à une personne, et non seulement elle lui obéit mais elle le sert, et non seulement elle le sert mais elle veut le servir »

« Les gens ensemble. C’est juste erroné d’un point de vue grammatical »

« Ici c’est punk »

« Je crois dans la jeunesse noire »

« Petit acte »

« Temer, dehors »

« Temer, dehors »

« Lula libre »

« Lula libre »

« La ville est à nous »