Laurent Kazmierczak : « À Sciences Po Executive Education, on apprend à se remettre en question pour explorer toutes les possibilités. »

Laurent Kazmierczak - D’un côté, il y avait besoin d’une mise à jour de mon logiciel interne. En effet, les sciences de l’information et de la communication sont certes des sciences molles, mais des sciences tellement vivantes et en mutation qu’il faut être encore et toujours en veille. Le digital et le big data ont complètement transformé le rôle et les capteurs des communicants. Ensuite, il y a l’envie de se frotter à d’autres pour s’enrichir, faire le fameux « pas de côté », stimuler son intellect de manière exploratoire, côtoyer des maestros de la communication, comme Nicolas Bordas, Assaël Adary ou encore Louise Beveridge. Je ne suis pas sûr que l’on puisse parler d’un déclic mais plutôt d’un cheminement. J’ai d’abord suivi une formation à la communication orale dans le cadre d’un module de 4 jours et puis le « Sciences Po virus » est apparu. Bien plus doux que la crise que l’on a connu, il vous immunise contre l’ignorance et les certitudes.

Laurent Kazmierczak - Lors de mon entretien de candidature avec Hélène Tinlot-Benichou et Ambroisine Bourbon, je me souviens avoir dit : « j’ai exploré les masters professionnels proposés à Paris et finalement, je me suis tourné vers le meilleur ». Quelques années après, je suis toujours convaincu par l’excellence de l’enseignement, des intervenants et de l’approche pédagogique. 

Laurent Kazmierczak - De la confiance en soi ! Le monde du travail est souvent fait de doutes et de remises en question. On manque parfois de références ou d’arguments. À Sciences Po Executive Education, on apprend à se remettre en question pour explorer toutes les possibilités. On trouve aussi des intervenants hors pair. Je me souviens encore de la première session avec l’intervention de François Cusset, professeur de civilisation américaine à l’Université de Nanterre et intervenant Sciences Po Executive Education, qui nous a balayé en un après-midi les courants de pensée et d’anticipation sur la place du numérique dans les sociétés. Ce moment est encore gravé dans ma mémoire comme un révélateur de mon choix. Je n’oublierai pas non plus la learning expedition qui nous a amené à la George Washington University nous fait prendre conscience de nos écarts culturels mais aussi des approches différentes du métier de communicant. C’est un réel plus que de côtoyer Franck Sesno, ancien correspondant de CNN à la Maison Blanche et directeur de la « School of media and publics affairs », qui nous partage sa vision de son Amérique. Enfin, j’ai découvert à Sciences Po Executive Education une équipe pédagogique pleinement investie dans le bien-être des étudiants et le bon déroulé de la formation.

Laurent Kazmierczak - Quelques mois après ma diplomation, j’ai intégré l’équipe de Jean-Marie Marx, Haut-Commissaire aux compétences et à l’inclusion par l’emploi auprès de Muriel Pénicaud, Ministre du Travail. Je ne sais pas si c’est uniquement l’impact de la formation, mais c’est sûr que Sciences Po a largement contribué à mon intégration dans cette équipe. J’ai également poursuivi mon envie de réfléchir et cette fois-ci sur le champ de l’inclusion dans l’emploi des personnes les plus vulnérables. Je travaille d’ailleurs toujours avec Sciences Po pour intégrer cette nouvelle dimension sociétale de l’inclusion dans la formation des futurs cadres et dirigeants de ce pays. Vous ne le croirez sûrement pas et pourtant…. La première fois que j’ai été sensibilisé au thème de l’inclusion, se fût déjà dans le cadre de l’Executive Mastère® Spécialisé Communication de Sciences Po Executive Education. En effet, nous étions à la Maison Albertine, haut-lieu de la culture française à New-York et nous participions à un échange avec Catherine Barba, experte française du commerce électronique et de la transformation numérique et aujourd’hui Business Angel aux Etats-Unis et elle nous a dit : « La diversité, c’est quand on t’invite à une soirée. L’inclusion, c’est quand on t’invite à danser. ». Elle a contribué à forger mon opinion sur l’absolue nécessité de faire de cette société une société plus inclusive pour toutes et tous. J’ai sillonné durant une année les routes de France pour aller porter cette parole de l’inclusion auprès des chef.fe.s d’entreprise.

Laurent Kazmierczak - Sans aucun doute, je retournerai sur les bancs de Sciences Po Executive Education pour poursuivre mon évolution personnelle mais aussi pour partager ma réflexion et ma vision de ce monde en perpétuel mutation.

Laurent Kazmierczak - Déjà, je conseille de se donner pleinement dans cette formation et d’être totalement disponible. J’ai par exemple passé mes vacances d’été à peaufiner la rédaction de mon mémoire, je puis vous assurer que l’engagement doit être total ! Ensuite, il faut se montrer curieux de tout et avoir à l’esprit que son expérience professionnelle est aussi une partie de ce que l’on doit à ses collègues de formation. Il faut être partageur. Enfin, je finis sur un argument un peu plus léger mais Sciences Po Executive Education, au-delà des heures de cours théoriques, c’est aussi un nombre incalculable de rencontres marquantes qui se terminent par des soirées entières au Café de Flore à refaire le monde. Mettez-vous en danger, osez et engagez-vous pleinement dans ces formations.