Accueil>Suivre une formation : le jour où j’ai eu le déclic

09.07.2019

Suivre une formation : le jour où j’ai eu le déclic

Suivre une formation est une décision engageante. Comment faire alors pour sauter le pas ? Trois alumni racontent leur déclic et comment la formation les a aidés à se révéler.

   

 

D’abord journaliste, cela faisait 12 ans que je travaillais en agence éditoriale à créer du contenu pour des marques. J’ai été notamment rédactrice en chef de plusieurs magazines. C’était passionnant mais j’avais peur de m’enfermer, j’avais envie de nouveaux challenges, comme rejoindre un grand groupe média. Monter en compétence sur le numérique faisait aussi partie de mes objectifs. J’ai appris l’existence de ce Master au cours d’un entretien d’évaluation. Très vite, j’ai lancé le processus et c’était parti ! J’ai été éblouie par la qualité de l’enseignement et des intervenants qui abordaient aussi bien Balzac que les GAFA. Les notes que j’ai prises à l’époque, je les relis encore. Le travail fourni pendant cette période me sert de véritable « boite à outils ». Idem pour le mémoire, que j’ai stratégiquement axé sur le brand content pour multiplier les rencontres avec les gens du métier. D’ailleurs, j’ai depuis décroché des postes que je n’aurais sûrement pas eus sans cette formation. Aujourd’hui, je suis Directrice éditoriale de l’agence 14 Haussmann au sein du Figaro. J’ai atteint mon objectif. Je peux le dire, cette formation a changé ma vie professionnelle. 

   
   

 

J’ai décidé d’enrichir mon parcours et de m’inscrire à une formation « nouvelle génération » lorsque l’on m’a proposé d’occuper un nouveau poste avec une équipe jeune, polyvalente, très orientée technologies et digital. J’avais acquis une certaine expérience dans le management de l’innovation, mais la formation révèle l’aptitude là où le terrain révèle la compétence. J’avais eu un déclic : j’ai pris conscience que l’harmonie des relations au travail se fonde sur la confrontation d’idées et de points de vue. Que derrière chaque organisation formelle, il existe une organisation clandestine et qu’aucun modèle de management n’est parfait, universel et intemporel. La formation a précisément fait la lumière sur ces constats et les interrogations que j’avais. Aujourd’hui, je gère le HackLab Afrique de Société Générale, un lieu qui rassemble des talents multiples pour imaginer la banque de demain. Ma formation m’a énormément servi, du recrutement des équipes jusqu’au déploiement de projets. Parmi les nombreuses leçons de management - et de vie - que je retiens, il y a cette phrase : marcher avec le candidat est une façon de faire émerger une autre vérité. Aujourd’hui, je garde tant d’enseignements à l’esprit pour les transmettre à mon tour.

   
   

 

Je suis conseiller territorial à Saint-Martin, en charge des nouvelles technologies. J’ai appris l’existence de cette formation au moment où j’avais justement besoin d’évoluer. Je souhaitais en effet mettre en place un tableau de bord décisionnel pour permettre aux élus d’analyser en temps réel les résultats de leurs décisions politiques. Ce projet impliquait de multiples bases de données et j’avais beaucoup de questions sur ce que je pouvais – et ne pouvais pas – faire avec ces données. Quand d’anciens employeurs m’ont parlé de cette formation, dont le module juridique a été labellisé par la CNIL, je n’ai plus hésité. Bien sûr, il a fallu une belle organisation et le soutien de ma famille. Pendant 7 mois, j’ai fait des allers-retours toutes les 2-3 semaines entre Saint-Martin et Paris. Mais j’en ai profité au maximum et cela valait la peine. À chaque retour à Saint-Martin, j’avais de nouveaux outils en tête pour renforcer mes projets et servir les élus, l’île de Saint-Martin… et ma carrière ! Outre la fierté d’être certifié Sciences Po, je sais que j’aurais vraiment raté quelque chose si je ne m’étais pas lancé. 

   

Abonnez-vous à notre newsletters