Colloque du 15/12/2017
Introduction générale
Allocution d’ouverture : Alain Dieckhoff, directeur du CERI, Sciences Po
Antonio Spadaro, La Civiltà Cattolica
The diplomacy of mercy
François Mabille, FIUC/GSRL
Une géopolitique de la pastorale : le Saint-Siège en action
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Une nouvelle diplomatie en Amérique latine ?
Présidence : Christian Lequesne, Sciences Po-CERI
Gianni La Bella, Università degli Studi di Modena e Reggio Emilia
Le pape François et la paix en Amérique latine
Janette Habel, IHEAL, Université Paris 3
Les relations entre La Havane et le Saint Siège : la singularité cubaine
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Le Saint Siège, les catholiques et la Chine
Présidence: Pierre Haski, L’Obs
Benoît Vermander, Université Fudan, Shanghai
L’Eglise catholique chinoise et la diplomatie du Pape François
Pierre Morel, ancien ambassadeur de France près le Saint-Siège et en Chine, Observatoire Pharos
La relation entre Pékin et le Saint Siège : négocier sans reconnaître
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Le Moyen-Orient et les chrétiens d'Orient
Présidence : Jean-Marie Guénois, Le Figaro
Joseph Yacoub, Université catholique de Lyon
Le Saint-Siège et les chrétiens d’Orient : le pape François, continuité et innovation
Jean Guéguinou, ancien ambassadeur de France près le Saint-Siège, ancien consul général à Jérusalem
Le Moyen Orient : un dossier diplomatique primordial pour le Saint-Siège
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Quelques questions multilatérales
Présidence : Guillaume Devin, Sciences Po-CERI
Gerard Powers, Kroc Institute for International Peace Studies, Keough School of Global Affairs, University of Notre Dame
The Holy See and nuclear disarmament
Rafael Luciani, Boston College / CELAM
Pope Francis' Pastoral Geopolitics of Peoples and Cultures
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Conclusions : Philippe Portier, GSRL/EPHE
Responsables scientifiques : Alain Dieckhoff (Sciences Po-CERI/CNRS), François Mabille (FIUC/GSRL), Frédéric Martel (ZHdK University, Zurich)
Charles Tenenbaum, maître de conférence à Sciences Po Lille, chercheur au CERAPS
La diplomatie confessionnelle énonce, de manière générale, les stratégies internationales de trois catégories d'acteurs : les chefs religieux représentatifs d'une église ou d'une communauté, les organisations internationales publiques et privées à vocation confessionnelle, enfin les Églises de paix, principalement Quaker et Mennonite. La politique étrangère de certains États, lorsqu'elle s'inscrit dans un référentiel religieux ou lorsqu’elle se saisit d'un fait religieux comme objet de son action internationale, vient compléter cette typologie simplifiée.
Laurent Bonnefoy, chercheur au CERI
Depuis une quinzaine d’années, les relations entre monarchies du Golfe ont été massivement lues à la lumière de la rivalité entre l’Arabie Saoudite et le Qatar. En dépit de sa petite taille, ce dernier semblait développer une diplomatie indépendante (à travers le rôle joué par la chaîne al-Jazeera notamment), tournée vers les acteurs islamistes dans le sillage des Frères musulmans.
Kristina Kovalskaya, doctorante au GSRL
Le 10 octobre 2016, le Centre spirituel et culturel orthodoxe de Russie (Rossiiskii dukhovno-kul’turnyi pravoslavnyi tsentr) a ouvert ses portes aux visiteurs. Les premières négociations concernant la construction du Centre commencent en 2007 lors de l’amélioration significative des relations franco-russes. En 2010, la Direction des affaires du Président de la Fédération de Russie gagne le concours en versant la somme la plus importante et devient propriétaire du terrain précédemment occupé par l’ancien bâtiment de Météo France.
Amandine Barb, Chercheuse post-doctorale
Si Donald Trump applique à la lettre ses promesses de campagne relatives aux rapports entre l'État et la religion, il est probable qu'il ne restera plus, dans quatre ans, que quelques pans du fameux « mur de séparation » cher à Thomas Jefferson et qu'est censé garantir le Premier Amendement à la Constitution. Adopté en 1791, celui-ci prévoit que « le Congrès ne pourra faire aucune loi concernant l'établissement d'une religion (clause d'Établissement) ou interdisant son libre exercice (clause de libre exercice) ».