Les power girls de l'Executive Mastère Ressources Humaines !

Quand les Executives Masters sont propices à de belles amitiés. Valérie Richard nous raconte son expérience. Témoignage.

Vous connaissez les deux AbFab, les trois Drôles de Dames, les quatre héroïnes de Sex & the City et les cinq Spice Girls ? Grâce à l’Executive Master Ressources humaines de Sciences Po, il y a désormais les six Power Girls.

Janvier 2017, rentrée et premier module d’enseignement de notre Executive Master RH à Sciences Po. Après un cours introductif d’anthologie de notre directeur de formation, je me dis que je suis au bon endroit : on va apprendre ici à faire des Ressources Humaines qui prennent en compte l’ensemble des parties prenantes et dans une dimension stratégique qui les mettent au cœur de la vision de l’entreprise. Ça démarre très fort.

Je ne connais pas encore très bien les autres participants, on se regarde, on se sourit, on se jauge un peu aussi. Chacun se présente sous son meilleur jour.

Samedi matin, 9h. Troisième jour de ce premier module. Se lever tôt pour aller en cours le samedi matin fera partie des habitudes à prendre pour les prochains mois. Là c’est la première fois et ça pique un peu. Et pour cette première fois, on peut dire qu’on ne l’a pas regretté : Michel Barabel, professeur affilié à Sciences Po Executive Education arrive et nous fait un cours exceptionnel sur la prospective et le travail du futur à l’aube de la quatrième révolution industrielle. Il réussit l’exploit de nous tenir en haleine pendant trois heures. Impression d’être à la fois scotché à son siège et de partir très haut et très loin. Mais on est à Sciences Po, et donc pas seulement là pour écouter et prendre des notes, il va aussi falloir produire. Donc après ce cours incroyable, redescente sur Terre : notre premier travail à rendre devra se faire en groupe, sur un thème en lien avec la prospective RH. Et on compose les groupes là, maintenant. Petit moment de panique me concernant : choisir un thème, choisir un groupe… Je regarde les thèmes, je les trouve tous intéressants, sauf un que j’écarte. Puis je regarde ma promo. Avec qui vais-je travailler ?

Les gens se promènent entre les 4 paperboards, discutent des thèmes. Près du paperboard sur la mobilité RH, j’aperçois deux personnes avec qui j’avais déjà parlé : Catherine, une tenue impeccable, un collier de perles et des yeux bleus qui pétillent et Maylis, qui m’avait saluée la veille d’un tonitruant « Bonjour Valérie ! » (mais bon sang, comment a-t-elle fait pour retenir les prénoms de toute la promo dès le 2èmejour de cours ???). Une troisième personne arrive, Dina, la jolie Russe qui n’a pas l’air d’avoir froid aux yeux, puis Dominique, d’un calme et d’une douceur rassurants. Enfin arrive Isabelle, avec son franc sourire et son énergie positive. Que des filles… mais quelles filles !

Ainsi est né le groupe des Power Girls et aussi une amitié sans faille qui s’est constituée au fur et à mesure de l’avancée de notre travail. Un whatsapp d’abord dédié aux prises de rdv et échanges s’est vite transformé en réceptacle à blagues et discussions en tous genres. Des rendez-vous de travail chez les unes et les autres nous ont permis de découvrir nos vies et nos familles. Un week-end inoubliable à Saint-Malo (pourquoi sommes-nous parties si loin, on se le demande encore !) dédié au bouclage de notre rapport a scellé à jamais notre groupe. On a travaillé et vécu ensemble, discuté fort, et beaucoup ri. Cette amitié continue encore aujourd’hui, le whatsapp est toujours activé, et les moments de travail se sont transformés en moments de détente ensemble, toujours toutes les six. La dernière fois, c’était sur la piste de danse de la brasserie Barbès, le DJ s’en souvient encore…

Valérie Richard, Diplômée 2018 de l’Executive Master Ressources Humaines

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