A deux mois du premier tour des élections présidentielles (17 novembre), l'enquête d'opininon publique réalisée en juillet-août par le Centre d'Etudes Politiques chilien apporte des enseignements intéressants, que l'OPALC résume à l'aide de quelques indicateurs.
L'enquête confirme notamment la mauvaise image des partis politiques chiliens, ce qui se traduit par un manque d'intérêt pour la campagne et une tentation pour l'abstention élevée: