Colloques & Evènements

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6 septembre 2024
Horizon 2030 : Inventer et mettre en œuvre la cancérologie de demain

La Chaire santé de Sciences Po est heureuse d'avoir été associée aux travaux d'Unicancer dans le cadre de sa démarche prospective. Les conclusions de cette ambitieuse démarche ont été présentées en septembre dernier, au Sénat, lors d'un colloque ouvert par M. Bernard Jomier, Jean-Yves Blay, Sophie Beaupère, Daniel Benamouzig et conclu par Mme Florence Lassarade.

La Chaire santé a contribué à l’éclairage du volet "évolution de la prise en charge et des parcours de soins", en mettant en œuvre différents types de travaux mobilisant des compétences en sciences sociales :

  • Une étude qualitative et comparative réalisée par Héloïse Pillayre, post-doctorante à la Chaire santé qui a porté sur la prise en charge sur trois territoires métropolitains ;

➡ Rapport à retrouver ici : Le rôle des Centres de lutte contre le cancer dans la coordination des parcours de soins en cancérologie. Rapport de recherche réalisé par Héloise Pillayre, sous la direction scientifique de Daniel Benamouzig. Juin 2024, 100 p.

  • Une enquête réalisée par l'institut ODOXA portant sur la perception vis-à -vis de la prise en charge du cancer, sous la conduite de Gael Sliman ;
  • Des réflexions d'un groupe d'experts, académiques et professionnels, sur les enjeux de la prise en charge du cancer, Daniel Benamouzig, Yann Bourgueil France, Henri Bergeron, Ibtissem Ben Dridi, Patrick Castel et Etienne Minvielle.

➡ Le programme de la manifestation à retrouver ici.
➡ Rapport Horizon 2030 à retrouver ici.

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27 novembre 2024
Le rôle de l'Europe dans l'évolution de la santé des populations et l'organisation des systèmes de santé

L'Ecole d’affaires publiques et la Chaire santé de Sciences Po ont organisé une conférence sur le rôle de l’Europe dans l’évolution de l’état de santé des populations et l’organisation des systèmes de santé

Les systèmes de santé des pays européens sont confrontés à une évolution importante et partagée de l’état de santé de leurs populations (vieillissement, prévalence des maladies chroniques, dépendances, polypathologies – poids des déterminants environnementaux et du changement climatique…). Face à cette situation, des transformations majeures de nos systèmes de santé sont nécessaires et attendues

Quels rôles l’Europe peut-elle jouer alors que ses compétences en matière de santé restent limitées, et attachées aux prérogatives nationales des États membres ? De quelle Europe parle-t-on entre l’Union Européenne à 27 membres et l’OMS Europe à 53 membres ? Entre incitations, élaboration de normes, accompagnements méthodologiques, expérimentations, comparaisons, l’Europe peut-elle être un levier du changement nécessaire ? 

Parallèlement, de quelle santé parlons-nous ? Comment questionner l’ensemble du champ de la santé, sans se restreindre à l’hôpital ou aux seuls domaines des soins ? Faut-il aborder le champ de l’organisation et de la gouvernance, et sous quel angle ? 

Programme 

Mots de bienvenue

Daniel Benamouzig, Directeur de Recherche au CNRS et professeur associé à l’Ecole d’Affaires Publiques de Sciences Po, titulaire de la Chaire santé et par Laurent Chambaud, ex-Directeur de l'Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique (EHESP - École des hautes études en santé publique) de 2013 à 2022.

Puis quatre personnalités débattrons sur ces questions 

  • Dr. Natasha Azzopardi Muscat, Directrice du Pôle politiques et systèmes de santé des États à l’OMS Europe ;
  • Robert Otok, Directeur de l’ASPHER (Association of Schools of Public Health in the European Region) ;
  • Elina Madeleine Suzuki, analyste en politiques de santé à l’OCDE ;
  • Anne Bucher, Former director General for Health and Food Safety at the European Commission.

20 novembre 2024
Quelle santé mondiale pour demain ? 

L’École des affaires internationales de Paris, l’École d'affaires publiques, la Chaire Santé de Sciences Po et le think tank Santé mondiale 2030 ont organisé une conférence publique sur l’avenir de la santé mondiale. L’événement comptera la participation de Anne-Claire Amprou, Ambassadrice pour la santé mondiale, et Marisol Touraine, actuelle Présidente du Conseil d’administration d’Unitaid et ancienne Ministre française des Affaires sociales et de la Santé (2012-2017).

La santé mondiale est un domaine de formation, de recherche et d’action qui évolue constamment depuis son émergence au début des années 2000, en réponse à la nécessité de réponses internationales coordonnées aux défis de santé de plus en plus mondialisés. Les stratégies de santé mondiale doivent évoluer face à de nouveaux défis de santé transversaux liés au changement climatique, à la pollution, à l’alimentation et à la pauvreté. Elles doivent également tenir compte des changements dans le paysage géopolitique international et, en particulier, des questions sur l’efficacité du système des Nations Unies et de la coopération multilatérale. Les débats entourant la gestion de la pandémie de Covid-19 soulignent la nécessité de repenser nos méthodes actuelles de prévention, de préparation et de réponse aux épidémies.

À quoi ressemblera le système de santé mondiale de demain ? Quelle place auront l’Union européenne et la France dans un monde de plus en plus connecté et régionalisé ? Comment pouvons-nous améliorer la santé mondiale à un moment où les enjeux sociaux et environnementaux sont des déterminants de plus en plus importants de la santé humaine ?

Deux tables rondes et une présentation sur l’état actuel du futur “traité pandémique” ont offert l’occasion d’ouvrir un débat de grande envergure sur ces questions.    

Replay de l'événement : 

PROGRAMME : 

17h15 - Mots de bienvenue 

  • Daniel Benamouzig, Directeur de Recherche au CNRS et professeur associé à l’Ecole d’Affaires Publiques de Sciences Po (EAP), et Luis Pizarro, Directeur Executif de Drugs for Neglected Diseases Initiative (DNDi) et professeur associé à l’Ecole d’Affaires Internationales de Sciences Po (PSIA)

17h25 - Priorités 2025 de la stratégie française en santé mondiale : Le traité des pandémies et l’Académie de l’OMS 

  • Anne-Claire Amprou, Ambassadrice pour la santé mondiale

17h40 - Table ronde n°1 - L’Union Européenne comme acteur de la santé mondiale

  • Modération : Amélie Schmitt, Conseillère pour les Affaires sociales et la Santé mondiale à la Mission permanente de la France auprès des Nations unies à Genève 
  • Intervenants : Michel Kazatchkine, Conseiller Spécial du bureau de l’OMS pour l’Europe et ancien Directeur Exécutif du Fonds Mondial de Lutte contre le Sida, la Tuberculose et le Paludisme (2007-2012), et Jérôme Weinbach, Délégué adjoint aux Affaires européennes et internationales du Ministère de la Santé et de l’Accès aux soins

18h20 - Table ronde n°2 - Climat, environnement, alimentation… L’enjeu croissant des « déterminants de la santé » 

  • Modération : Marie-Paule Kieny, Présidente du Conseil d’Administration de Medicines Patent Pool et ancienne sous-directrice générale adjointe de l’OMS
  • Intervenants : Mathilde Touvier, Directrice de l’Équipe de Recherche en Épidémiologie Nutritionnelle de l’Inserm, et Kevin Jean, professeur de la chaire « Santé et changements globaux » de l’Ecole Normale Supérieure (ENS)

19h - Conclusion : Quelle santé mondiale pour demain ? 

  • Marisol Touraine, Présidente du Conseil d’Administration de Unitaid et ancienne Ministre des Affaires sociales et de la Santé (2012-2017)

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6 novembre 2024
Quel est l'état de santé des soignants et des personnes hospitaliers aujourd'hui ?

Malgré un taux de satisfaction encore inférieur à celui des autres salariés (64 % contre 77 %), la situation s'améliore après plusieurs années de dégradation. En effet, la satisfaction des professionnels de santé a progressé de +10 points en deux ans et +26 points en quatre ans.

  • Des écarts notables subsistent selon les métiers : les médecins sont les plus satisfaits (68 %), suivis des infirmiers (65 %), tandis que les aides-soignants affichent un taux plus bas de 60 %.
  • Cette amélioration s'explique par une forte reprise depuis la crise du Covid-19. En 2020, la satisfaction était tombée à 38 %, pour remonter aujourd’hui à 64 %. La courbe suit une trajectoire en « V », retrouvant les niveaux d’il y a sept ans après une chute continue entre 2017 et 2020.

Les professionnels de santé subissent des violences au travail beaucoup plus fréquemment que les autres salariés : 56 % d'entre eux rapportent avoir vécu au moins une situation de violence, soit 18 points de plus que la moyenne des autres actifs (38%).

Cette situation impacte leur satisfaction au travail, qui reste inférieure à celle des autres secteurs. Pourtant, les baromètres précédents ont révélé un engagement et une vocation bien plus marqués chez les soignants par rapport à la moyenne des travailleurs.

Des conditions de travail plus difficiles expliquent cette situation :

  • 76 % des soignants estiment avoir un volume de travail trop élevé, soit 25 points de plus que la moyenne nationale.
  • Ils sont également confrontés à des situations d'incivilité (45 % contre 30 % chez les autres actifs) et à des agressions physiques de la part des patients (31 % contre 27 %).

 Le stress des soignants impacte leur santé et leur équilibre vie professionnelle/vie personnelle

Les professionnels de santé sont plus exposés au stress au travail et, en conséquence, leur bien-être général en pâtit :

  • Plus souvent malades : près de 46 % des soignants ont déclaré être tombés malades au cours des trois derniers mois, un chiffre bien plus élevé que la moyenne des Français (28 %) et des salariés en général (27 %).

  • Moins satisfaits de leur équilibre vie professionnelle/vie personnelle : seulement 54 % des soignants estiment que leur équilibre entre vie professionnelle et personnelle est « satisfaisant », contre 75 % des autres actifs. Ce manque de satisfaction est lié à des horaires de travail souvent décalés, avec 31 % des soignants travaillant la nuit ou le week-end, contre seulement 21 % des autres salariés.

Des difficultés de sommeil plus fréquentes chez les soignants

Plus de 6 professionnels de santé sur 10 rencontrent des troubles du sommeil, un chiffre bien plus élevé que la moyenne nationale de 48 %.

  • 61 % des soignants déclarent avoir des difficultés à dormir (dont 30 % quotidiennement), soit 13 points de plus que la moyenne des Français.
  • Cependant, la situation s'améliore lentement : en deux ans, ce chiffre a diminué de 3 points, passant de 64 % en 2022 à 61 % cette année.

54% des professionnels de santé ont des comportements nocifs pour la santé (alcool, tabac, cannabis, anxiolytiques)

  • Nombreux sont les professionnels de santé qui ont des comportements nocifs pour leur santé : au moins une fois par semaine, 35% boivent de l’alcool, 24% fument du tabac, 16% prennent des tranquillisants ou des somnifères et 2% fument du cannabis.
    C’est beaucoup pour des professionnels du soin alertant chaque jour leurs patients sur les risques que présentent ces comportements. C’est d’ailleurs à peine moins que les niveaux relevés en population générale.
  • Les soignants sont même plus nombreux que les autres Français à consommer toutes les semaines (89% contre 78%) et même pour certains tous les jours (25% vs 16%) des produits gras, sucrés ou salés et, inversement, ils sont moins nombreux que leurs concitoyens à pratiquer du sport ou une activité physique de façon hebdomadaire (59% vs 62%) ou, mieux encore, quotidienne (5% vs 14%).

Les soignants sont plus nombreux que les patients à se sentir en mauvaise santé, et surtout, ils sont deux fois plus nombreux (29%) à se sentir en mauvaise santé mentale

  • 78% des professionnels de santé s’estiment en bonne santé. Mais ce niveau est tout à fait décevant : d’abord car 22% d’entre eux s’estiment en mauvaise santé (29% pour les aides-soignantes), et ensuite parce que la part de ceux qui le pensent est de 7 points supérieure à la moyenne nationale et qu’inversement, la part de ceux qui pensent être en « très bonne » ou « excellente » santé est nettement plus faible qu’en population générale (18% vs 28%, soit 10 points de moins).
  • C’est encore plus préoccupant s’agissant de leur santé mentale : 29% d’entre eux estiment qu’elle est « mauvaise » ou « médiocre » … c’est le double de ce que l’on relève en population générale. Et ce niveau est stable quel que soit le métier (26% pour les médecins, 28% pour les infirmières et 29% pour les aides-soignantes).

En termes de prévention, les soignants sont moins sérieux que leurs patients : une soignante sur deux n’a jamais effectué un examen de dépistage du cancer du sein (53% vs 67% chez les salariées)

  • Enfin, paradoxalement, sur la prévention aussi, les niveaux relevés auprès des soignants sont assez décevants. En effet, les professionnelles de santé sont nettement moins nombreuses que leurs concitoyennes à avoir effectué un examen de dépistage du cancer du sein au cours de leur vie : 53% vs 67%, soit 14 points de moins.
  • Les soignantes pratiquent davantage que leurs « patientes » des autopalpations mammaires régulières (+10 pts) mais sont moins sérieuses qu’elles sur les examens de dépistage du cancer du sein (-14 pts).

Pour connaître les résultats du sondage Odoxa - MNH

10 avril 2024
"La parentalité & être soignant aujourd'hui" 

La Mutuelle Nationale des Hospitaliers (MNH) a récemment eu l'occasion de partager avec ODOXA, le Figaro Santé, et la Chaire santé, Sciences Po des enseignements liés à un récent sondage.

  • 14% des Français et 23% des soignants ont déjà reporté ou annulé un projet d'enfant en raison de leur carrière.
  • Pour 32% des Français et 35% des professionnels de santé, leur profession n'est pas compatible avec la parentalité. Tandis que 24% des parents, dont 35% travaillent dans le secteur de la santé, estiment que cela a freiné leur carrière.
  • Pour la majorité, la conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle reste un défi. Seuls 12% des professionnels de santé estiment y parvenir pleinement. Les femmes, surtout celles dans le domaine de la santé, sont confrontées à des défis considérables, et la moitié d'entre elles subissent des contraintes importantes de leur famille ou de leur travail.
  • 62% des professionnels de santé ont des difficultés avec la garde de leurs enfants lors de leur retour au travail, et pour 55% d'entre eux, ces difficultés pourraient les pousser à changer de carrière.
  • Enfin 42% des professionnels de santé estiment que l'accompagnement des projets parentaux des collaborateurs est un critère important pour les employeurs

Revoir l'émission en replay

Pour connaître les résultats du sondage Odoxa - MNH 

29 février 2024
"Où en est le sommeil des Français et des professionnels de santé ?" 

La Mutuelle Nationale des Hospitaliers (MNH) a récemment eu l'occasion de partager avec ODOXA et la Chaire santé, Sciences Po des enseignements liés à un récent sondage.

  • Les Français ne dorment pas suffisamment et c'est encore pire pour les professionnels de santé : ils dorment en moyenne moins de 7 h par jour (6 h 58 et 6 h 35) et 33% des premiers et 45% des seconds dorment même 6 h ou moins par jour.
  • L'âge et le fait d'être parent jouent un rôle clé sur le manque de sommeil : 37% des Français et 49% des soignants âgés de plus de 50 ans dorment 6 h ou moins par jour. Les parents sont aussi plus nombreux à peu dormir : + 4% points chez les Français et +7 points chez les soignants.
  • 59% des Français et 77% des professionnels de santé observent une dégradation de leur sommeil depuis ces dernières années. D'ailleurs, un Français sur deux et les deux tiers des soignants pensent avoir un sommeil insuffisant en quantité comme en qualité. 
  • En conséquence 24% des Français et 27% des profesionnels de santé prennent des produits pour dormir (dont 11% des somnifères ou des anxiolotiques) et 35% des Français et 54% des profesionnels de santé ont aussi dû investir dans leur sommeil pour l'améliorer (literie, lumière, compléments alimentaires).

Pour connaître les résultats du sondage Odoxa - MNH 

--------------------------Autres évènements-------------------------------------------------------

10 décembre 2024
Présentation de l'ouvrage Médicaments : à quel prix ?
Par Maurice-Pierre Planel, Préface de Daniel Benamouzig

La politique du médicament fait l’objet de débats récurrents dans l’ensemble des pays développés. La crise de la Covid-19 a favorisé une nouvelle hiérarchisation des objectifs de cette politique et l’émergence d’une préoccupation forte en matière d’accès aux produits. Cette nouvelle priorité est illustrée par la jonction entre les questions d’accès à l’innovation, de lutte contre les pénuries ou de tensions d’approvisionnement et de localisation industrielle.

En répondant à 10 questions que chacun peut se poser, l’auteur montre en quoi ces thématiques de l’accès et du prix du médicament ont un impact sur l’organisation et l’accessibilité des soins pour l’ensemble de la population. Les enjeux ne sont pas simplement financiers et devront s’inscrire à l’avenir dans une dimension environnementale et climatique.

Dans un format clair et concis, cette nouvelle édition apportera aux étudiants, aux professionnels et au grand public les clés pour comprendre la politique du médicament et les mécanismes qui encadrent la procédure de fixation de leurs prix en France, tout en éclairant des points essentiels comme l’accès à l’innovation et la lutte contre les pénuries.

Obtenir l'ouvrage

7-8 novembre 2024
Health Policy Innovation and Reform Workshop

Retrouver le programme de la manifestation ici

17 octobre 2024
La financiarisation des soins 

La Chaire santé de Sciences Po a organisé avec la 6 ème Chambre de la Cour des Comptes en Grand chambre, un séminaire sur la financiarisation des soins.

 La financiarisation des soins correspond à l'entrée d'acteurs financiers privés, extérieurs au domaine médical, cherchant à maximiser la rentabilité de leurs investissements, notamment par l'optimisation des coûts (prises en charge, immobilier, achats, ressources humaines) ;
 Tout en soutenant l'innovation et la modernisation de certains segments du système de soins, ces acteurs changent les règles du jeu, aux dépens de l'autonomie des professionnels et d'une orientation des bénéfices hors du système de soins, voire du pays ;
 Ce thème irrigue le champ sanitaire et médico-social, dans des secteurs aussi différents, et illustrés tout au long du séminaire, que les laboratoires de biologie médicale, les centres de santé, les centres de dialyse rénale, les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, la radiologie ou les pharmacies d'officines.

Les discussions ont conduit à questionner, d’une part, les opportunités et les risques de la financiarisation et, d’autre part, l'opportunité et les formes d'une régulation adaptée.

Avec Juliette MEADEL et Marie Bascoul, ainsi que les intervenants des tables rondes : Dominique Bonnefont-Rousselot, PU-PH, académicien de médecine ; Hélène Colombani, présidente de la Fédération nationale des centres de santé ; Yvanie Caillé, Renaloo, (association de patients) ; Hervé Léost, IGAS ; Olivier Mercier, Interfimo ; Franck Devulder, président de la CSMF et Yves Doutriaux, conseiller d’État.

Retrouvez le rapport "La financiarisation dans le secteur de la santé : tendances, enjeux et perspectives" de la Chaire santé, rédigé par Daniel Benamouzig, titulaire de la Chaire santé de Sciences po, et Yann Bourgueil France, membre du comité exécutif de la Chaire santé de Sciences Po et médecin expert en santé publique.

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