Evénements 2019-2023

Baromètres (2019-2023)

26 octobre 2023
"Etat de santé des soignants et des personnes hospitaliers" 

La Mutuelle Nationale des Hospitaliers (MNH) a récemment eu l'occasion de partager lors d’un webinaire organisé avec Acteurs publics, les conclusions de son Observatoire annuel sur les inégalités en santé réalisé en collaboration avec ODOXA et la Chaire santé, Sciences Po.

Retour sur les grands enseignements de l'enquête :

  • L'Observatoire MNH constate qu’un des principaux freins à l’accès à la santé est le pouvoir d’achat des français.
  • La MNH observe que les disparités d'accès aux soins pour les personnes en situation de handicap et de vulnérabilité sont fortes
  • Les soignants font face à des obstacles au quotidien dans la prise en soin des patients.
  • Malgré les difficultés, les professionnels de santé sont aujourd’hui une majorité à être formés ou sensibilisés aux spécificités des soins apportés aux personnes en situation de handicap ou de précarité.
  • La médiation en santé bénéficie d’une forte adhésion des professionnels de santé, bien qu'elle reste méconnue d’une large part d’entre eux et de la population.

Pour connaître les résultats du sondage Odoxa - MNH (PDF. 731 Ko)

16 & 17 février 2023
"Ou en est la santé des femmes et la santé des hospitalières à l'occasion de la journée des droits des femmes du 8 mars 2023 ?" 

La santé des femmes, et la santé des femmes dans le milieu hospitalier est un enjeu majeur de santé publique selon le baromètre Odoxa.

La santé des femmes et celle des soignantes est un enjeu majeur selon une enquête Odoxa pour la Mutuelle nationale des hospitaliers (MNH) et Le Figaro santé, avec le concours scientifique de la Chaire santé de Sciences Po, publiée le 8 mars à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes.

Sur un double échantillon représentatif de 1004 Français interrogés par internet du 16 au 17 février 2023, et de 927 professionnels de santé hospitaliers, dont 477 infirmiers, 238 aides-soignants, 35 soignants et 177 personnels administratifs, ce sondage pointe les difficultés pour les femmes à bénéficier de soins de qualité. Six femmes sur 10 et 7 hospitalières sur 10 ne pensent pas que la santé des femmes est spécifiquement prise en compte dans les politiques conduites par les organisations de santé.

Pour connaître les résultats du sondage Odoxa - MNH. (PDF. 350 Ko)

13 décembre 2022
Présentation des résultats du baromètre sur la satisfaction des patients à l'hôpital

Les résultats de cette enquête porteront sur les attentes, leviers, ressorts et évolutions de français et de patients ayant récemment fréquenté un établissement de santé ; réalisé par Odoxa pour Vivalto Santé avec le concours scientifique de la Chaire Santé de Sciences Po. De 8h30 à 10h00, avec les interventions de :

  • Gaël Sliman, président d’Odoxa
  • Caroline Desaegher, directrice de la communication de Vivalto Santé
  • Daniel Benamouzig, titulaire de la Chaire santé de Sciences Po

22 septembre 2022
Résultats du Baromètre Santé 360° sur le thème "La santé des soignants et des personnels hospitaliers"

avec le concours scientifique de la Chaire santé, réalisé par ODOXA pour la MNH 

Consultez les résultats (PDF, 1.65 Mo)

30 juin 2021
Présentation des résultats de l’enquête épidémiologique nationale sur le surpoids et l'obésité

Présentation des résultats de l'étude réalisée par Odoxa pour le compte de la Ligue Contre l'Obésité-Obépi-Roche réalisée par Odoxa

Consulter la présentation (PDF, 3,76 Mo)

6 octobre 2020
Résultats de l’Observatoire des soins et des soignants

Présentation des résultats de l'étude réalisée par Odoxa pour le compte de la MNH-nehs (Mutuelle nationale des hospitaliers) et la FNESI (Fédération nationale des étudiants en soins infirmiers), avec le concours scientifique de la Chaire santé

Consulter la présentation (PDF, 992 Ko) 

Grand âge ET ACCOMPAGNEMENT DU VIEILLISSEMENT

Résultats du Baromètre Santé 360 ° du 18 novembre 2019

Principaux enseignements : 

La prise en charge du grand âge et de la dépendance constitue une angoisse majeure partout en Europe et est perçue comme étant très mal prise en compte par les Etats

La prise en charge du grand âge et de la dépendance : un sujet majeur en France et en Europe

Une priorité pour toutes les sociétés, en France comme partout en Europe. 59% des français se sentent concernés à titre personnel par la prise en charge du grand âge et de la dépendance. C’est une préoccupation plus qu’importante pour 9 Français sur 10… elle est même prioritaire pour 1 français sur 2.
Un sujet majeur de préoccupation pour les individus, mal pris en compte par les Etats; 68% des Français et 60% des aidants sont insatisfaits de la prise en charge de cette question en France. Cette défaillance perçue quant à la prise en charge est une angoisse personnelle : les Français (54%), et plus encore les aidants (64%), sont inquiets quant à la façon dont ils géreront leur propre vieillissement;
Explication ? Les problèmes de santé sont la première des craintes liées au vieillissement, les Français se sentent mal informés sur le sujet et les EHPAD pâtissent d’une mauvaise image.

Que faire en matière de prise en charge du grand âge et de la dépendance ?

Solutions souhaitées, perceptions des moyens alloués, jugement sur les politiques publiques, avenir du financement et place des nouvelles technologies. En cas de perte d’autonomie, les Français veulent rester à leur domicile, sous-estimant le coût des EHPAD et ayant peu de connaissance sur les dispositifs d’aides existants. Les français (74% à 76%) et les aidants (65% à 69%) sont persuadés que les moyens accordés à l’aide au maintien à domicile et aux établissements d’hébergement pour personnes âgées sont insuffisants. Plus sévères encore, près de 9 Français sur 10 jugent les politiques publiques inadaptées aux défis du grand âge et de la perte d’autonomie. L’avenir de la dépendance : le financement est méconnu et jugé insuffisant. A l’inverse, les nouvelles technologies sont perçues comme pouvant jouer un rôle très positif.

Place et perception des acteurs : les aidants, les soignants en général et le médecin généraliste (MG) en particulier

Les « aidants » sont un acteur à la fois majeur et méconnu de la dépendance : ils représentent plus de 7,5 millions de français, mais les médecins sous-estiment largement leur importance/leur nombre. La place des soignants en général et du « MG » en particulier aujourd’hui en font encore les héros de notre système. Souhaitant toujours que le MG reste au cœur du système (58% des Français pensent que la place du médecin généraliste libéral n’est pas encore assez importante), les Français sont toutefois favorables à toutes les pratiques avancées (79% y sont favorables) permettant aux infirmiers, pharmaciens, etc. de pouvoir suppléer les médecins dans leurs tâches.

Consultez les résultats (PDF, 1,72 Mo)

LA PRéVENTION SANTé EN FRANCE AUJOURD'HUI

Résultats du Baromètre Santé 360° du 8 juillet 2019

Principaux enseignements : 

Connaissances des français sur la prévention-santé

En matière de « prévention-santé », les français sont des « Monsieur Jourdain » : ils en font finalement et en font grand cas (80% y sont attentifs)… mais sans le savoir. D’ailleurs, les français sont bien informés sur les bons comportements à adopter en matière de prévention-santé (68% le sont) et surtout ils disent les appliquer et ils le feraient plus encore, selon eux, s’ils en avaient les moyens ou le temps. Les médecins et les français s’accordent tous à ce sujet : pour avoir une population en bonne santé, la prévention est plus efficace que le soin… et pour faire une bonne prévention il faut avant tout que les médecins et les soignants puissent mieux sensibiliser leurs patients, mais l’incitatif ne suffit pas, selon eux il faut aussi une dose de mesures coercitives

Et dans la pratique ?

Effectivement les usages en préventions-santé sont très répandus… mais ils sont aussi très typés générationnellement et sociologiquement. Effectivement, les français ont été largement sensibilisés à la prévention-santé : 7 sur 10 y ont été sensibilisés… le plus souvent par leurs médecins.L’arrêt ou la limitation du tabac représente, de loin, le « bon comportement » de prévention le plus souvent adopté par les français … il est aussi celui perçu comme ayant le plus fort impact sur la santé. Les trois-quarts des français ont eu recours à des consultations préventives (le plus souvent pour dépister des cancers). Mais ces moyennes flatteuses masquent en réalité d’immenses disparités en termes générationnels : plus on est âgé et plus on est informé et sensibilisé au sujet et plus on met en pratique ces connaissances pour avoir les bons comportements. Et surtout ces moyennes masquent des disparités bien moins « acceptables » ou compréhensibles en termes sociologiques : plus on est aisé et éduqué et plus on est sensibilisé au sujet… plus on est « pauvre » et peu éduqué et moins on connait et met en pratique une bonne prévention-santé

La place de la prévention-santé dans la politique de santé aujourd’hui

Selon les français, la prévention-santé est aujourd’hui à sa juste place dans les politiques de santé publique dans notre pays. Le ministère de la santé est d’ailleurs totalement légitimé par les français : de tous les acteurs institutionnels, il est celui qui est jugé le plus efficace pour promouvoir la prévention-santé. En revanche, le plan national de prévention santé présenté par Agnès Buzyn est encore largement méconnu par les Français mais aussi par les médecins. La même méconnaissance touche le « service sanitaire » encore très largement méconnu, non seulement des Français (ce qui se comprend), mais aussi des médecins (ce qui est plus gênant) 

Comment développer la prévention santé à l’avenir ? 

D’abord en misant sur la formation et ensuite en faisant confiance au développement de la santé connectée. D’ailleurs, la santé connectée sous ses formes « grand public » est déjà largement répandue et impacte la prévention-santé de nos concitoyens – plus de 6 Français sur 10 en utilisent – mais, malheureusement, les médecins n’accompagnent pas encore ce mouvement. Mais plus que tout, pour améliorer vraiment la prévention-santé, les Français comme les médecins pensent qu’il faut revoir le modèle économique et toute la politique tarifaire actuelle en apportant une rémunération complémentaire aux soignants pour débloquer du temps à la prévention.

Consultez les résultats (PDF, 1.15 Mo) 

Résultats du Baromètre Santé 360 ° du 31 janvier 2019

MEDECINES ALTERNATIVES ET COMPLEMENTAIRES

Principaux enseignements :

Perceptions des médecines alternatives et complémentaires (MAC) et de l’homéopathie 

Patients et médecins sont à front renversé, les premiers y croient et les utilisent, les seconds… pas du tout (surtout sur l’homéopathie). Les français sont convaincus des bienfaits des MAC (à 68%, vs 56% des médecins) et de l’homéopathie (72% vs 33% des médecins). Plus d’un français sur deux a recours à l’homéopathie et un sur trois aux autres médecines alternatives. En cas de déremboursement de l’homéopathie, 6 français sur 10 continueraient à en prendre, 1 sur 5 ne prendrait plus aucun médicament et seul 1 sur 6 la remplacerait pas un médicament conventionnel. Les médecins sous-estiment totalement cet usage de l’homéopathie : ils estiment en moyenne qu’1/4 de leurs patients y a recours, alors qu’ils sont deux fois plus nombreux. Seul 1 soignant sur trois (et 1 médecin sur 4) a déjà recommandé de l’homéopathie à un patient … et encore, une fois sur deux (51%) les médecins recommandent de l’homéopathie à leurs patients sans vraiment croire à son efficacité. 

Pourquoi le rapport aux « MAC » et surtout à l’homéopathie est-il si différent chez les patients et leurs médecins et soignants ? 

Méconnaissance ? Français et soignants sont convaincus que la formation des professionnels de santé est trop axée sur les médicaments conventionnels, et deux-tiers des professionnels de santé (65%) disent n’avoir jamais suivi de formation(s) sur l’homéopathie et les MAC. Une méconnaissance également du côté des français qui sont 56% à ne pas savoir précisément comment est « fabriquée » l’homéopathie. Des « MAC » jugées plus naturelles (90%) et moins nocives pour l’organisme (88%) par les français. Si les français et soignants s’accordent pour juger que l’homéopathie est naturelle et facile à se procurer … en revanche, les français la jugent « utile » et ne la voient pas comme un simple effet placebo alors que les soignants sont persuadés du contraire (surtout les médecins). Nos concitoyens sont tout de même 3 sur 10 à avoir déjà refusé un traitement prescrit par leur médecin au profit d’homéopathie ou « MAC » … là encore, les pros de santé sous-estiment largement la part de leurs patients capables de le faire (rapport de 1 à 3). Duel d’image entre allopathie et homéopathie : les français jugent l’allopathie plus rassurante (63%), plus scientifique (86%) et surtout plus efficace pour soigner les maladies graves (90%)… mais une large majorité pense que l’homéopathie l’est davantage pour soigner les maladies bénignes (63%) et qu’elle est en même temps moins nocive sur la santé à long terme (81%). Les médecins – eux – sont systématiquement convaincus des bénéfices de l’allopathie sur l’homéopathie.

Quid d’internet et des réseaux sociaux ?

Internet, et le développement du numérique sont-ils des véhicules utiles ou, au contraire, des vecteurs de propagation de comportements néfastes ? Français (60%), soignants (70%) et médecins (69%) sont persuadés du rôle néfaste que jouent Internet/les réseaux sociaux sur la santé en véhiculant de fausses informations. Nos concitoyens sont aussi 1 sur 2 à le penser concernant plus spécifiquement l’homéopathie et MAC. Mais ils voient aussi du positif : 67% estiment qu’il est facile de trouver sur Internet des renseignements fiables sur les médecines alternatives et complémentaires.Consulter Internet est fréquent pour recueillir des avis/conseils pour soigner une affection, près d’un Français sur deux le fait déjà. Nombreux sont aussi les français (37%) qui consultent Internet spécifiquement pour rechercher des solutions homéopathiques ou « MAC » à leurs problèmes de santé.Tous les acteurs – français (70%), professionnels de santé (83%) et médecins (86%) – auraient une totale confiance dans les informations que pourrait communiquer un site internet officiel labelisé par l’Etat en matière de santé, et tous souhaiteraient que de tels sites officiels puissent « noter » ce qui est reconnu scientifiquement et ce qui ne l’est pas : 77% des français et 83% des médecins y seraient favorables

Consultez les résultats (PDF, 1,33 Mo)

Colloques (2019-2023)

7 DÉCEMBRE 2023 
EVALUER LES PROJETS REGIONAUX DE SANTE (PRS) : AUTOUR DU CAS DE LA REGION ILE-DE-FRANCE

La Chaire santé de Sciences Po a présenté ses travaux en partenariat avec l'Agence régionale de santé Ile-de-France lors d'une journée d'étude et d'échanges.

Les projets régionaux de santé (PRS) se sont imposés comme un des principaux instruments de planification en santé. Les PRS déploient les actions coordonnées par les ARS à l’échelle régionale pour l’ensemble des politiques de santé. Ils regroupent à ce titre les actions mises en place dans les territoires, qu’il s’agisse de dispositifs nationaux déclinés en régions, de programmes territoriaux, de démarches partenariales ou mises en œuvre par d’autres acteurs territoriaux, notamment professionnels et associatifs.

Le nombre, la diversité et le caractère innovant des actions couvertes par les PRS rendent l’évaluation de ces derniers particulièrement complexe, au point que d’aucuns s’interrogent sur la faisabilité d’une telle évaluation de politique publique. Dans le cadre de ses travaux, la Chaire Santé de Sciences Po a été sollicitée par l’ARS pour conduire l’évaluation du PRS2 de la région Ile-de-France entre 2018-2023. Cet exercice sans précédent a donné lieu à l’élaboration d’une méthode, à la constitution d’un consortium de recherche interdisciplinaire et à la mise en œuvre de nombreux travaux, ayant donné lieu à une trentaine de rapports portant sur des objets variés.

L'évaluation du projet régional de santé (PRS) d'Ile-de-France 2018-2022 sous la direction scientifique de Daniel Benamouzig avec Mauricio Aranda, Henri Bergeron, Régine Bercot, Marie-Aline Bloch, Marie-Victoire Bouquet, Nicolas Duvoux, Patrick Hassenteufel, Gabriela Huamani, Florence Jusot, Armelle Klein, Clément Lacouette-Fougère, Julia Legrand, Pascal Martin, Magali Robelet, Nicolas Sirven, Clémence Thébaut, Jérôme Wittwer. Juillet 2023, 363 p.

Synthèse de l'évaluation du projet régional de santé (PRS) d'Ile-de-France 2018-2022, sous la direction scientifique de Daniel Benamouzig avec Mauricio Aranda, Henri Bergeron, Régine Bercot, Marie-Aline Bloch, Marie-Victoire Bouquet, Nicolas Duvoux, Patrick Hassenteufel, Gabriela Huamani, Florence Jusot, Armelle Klein, Clément Lacouette-Fougère, Julia Legrand, Pascal Martin, Magali Robelet, Nicolas Sirven, Clémence Thébaut, Jérôme Wittwer. Juillet 2023, 27 p.

Le dispositif d’appui à la coordination : un nouvel opérateur territorial en quête de légitimité. Rapport d’évaluation de l’Axe 1 du PRS 2 de l’ARS Ile-de-France. Réalisé par Marie-Aline Bloch, Marie-Victoire Bouquet et Magali Robelet, Juillet 2022, 185 p.

Innovation et organisation du maintien à domicile des personnes vulnérables en Ile-de-FranceRapport de recherche pour l’Axe 3 : maintien à domicile des personnes vulnérables. Réalisé par Armelle Klein, sous la direction scientifique d'Henri Bergeron. Mars 2022, 227 p.

Evaluation PRS 2 - Axe 5 du PRS 2 de l'ARS Ile-de-France. Rapport de recherche réalisé par Jeanne Pahun, Juin 2022, 187 p.

Cette journée, ouverte à tous les publics a eu pour objectif de partager, de discuter et de tirer les enseignements de cette évaluation en la mettant en regard d’enjeux plus généraux, en matière d’évaluation et de politiques de santé. En croisant les regards de chercheurs, de décideurs, d’acteurs institutionnels ou associatifs et de praticiens de l’évaluation, cette journée entend porter un regard réflexif sur les instruments et les effets des processus de planification régionale en santé, incarnés par le plan régional de santé, et sur les défis méthodologiques posés par leur évaluation.

Située à mi-chemin des mondes académiques et des mondes de la santé, la perspective retenue se veut instruite de travaux et de principes de recherche tout en étant résolument orientées vers les pratiques des acteurs de santé. La journée proposera des retours d’expérience concrets, permettant de dessiner des propositions et de partager des pratiques d’évaluation visant à produire des connaissances utiles à l’action publique, y compris de manière prospective, dans la perspective des nouvelles générations de PRS, en cours de lancement. 

Découvrir le programme (Pdf. 170 Ko)

Les présentations de la séance : 

Synthèse des principaux résultats Daniel Benamouzig, Chaire santé, Sciences Po (PDF 1,07 Mo) 

L’évaluation des dispositifs d’appui à la coordination (DAC) (PDF 376 Ko) 

  • Marie-Aline Bloch, EHESP
  • Marie-Victoire Bouquet, CESSP
  • Magali Robelet, Université Lyon 2

Innovation et maintien à domicile des personnes vulnérables (PDF 215 Ko) Armelle Klein, INSERM & Université Paris Cité 

Les plateaux médicotechniques (PDF 281 Ko) Nicolas Sirven, EHESP

Pouvoir d'agir et démocratie sanitaire (PDF 205 Ko) Clément Lacouette-Fougère, Chaire santé de Sciences Po

Projet collectif (PDF 204 Ko) avec les étudiants de l'école urbaine de Sciences Po

  • Louise Barbier, Ecole urbaine de Sciences Po
  • Hélène HoarauEcole urbaine de Sciences Po
  • Arthur FrantzEcole urbaine de Sciences Po
  • Marlène ZadrozynskiEcole urbaine de Sciences Po

Axe transversal : inégalités sociales et territoriales de santé (ISTS) (PDF 2.11 Mo) 

  • Pr Florence Jusot, Université Paris-Dauphine
  • Pr Jérôme Wittwer, Université de Bordeaux
  • Clémence Thébaut, Université de Limoges et Université Paris-Dauphine
  • Gabriela Huamani, Université Paris I et Paris-Dauphine
  • Béka Lomidze, Université de Bordeaux

Les permanences d'accès aux soins de santé (PASS) dans le PRAPS (258 Ko)

  • Mauricio Aranda, Institut des sciences sociales du politique
  • Nicolas Duvoux, EHESP
20 NOVEMBRE 2023
les enjeux de l'antibiorésistance

Le symposium conjoint entre l’Institut Pasteur, le CEVIPOF et la Chaire santé de Sciences Po se concentrera sur les défis majeurs de l’antibiorésistance et de la gestion des antibiotiques en tant que bien commun.

L’événement sera organisé autour de trois tables rondes explorant les questions suivantes : comment un problème sanitaire devient une question politique complexe, quelles sont les incitations nécessaires pour favoriser une production, une innovation et une consommation responsables des antibiotiques, et s’interroge enfin sur les actions et les coalitions d’acteurs requises pour mettre en œuvre et évaluer des politiques efficaces.

Nous vous invitons à participer à cet événement interdisciplinaire, alliant l’expertise des chercheurs en sciences politiques et ceux spécialistes des sciences du vivant et de la santé, qui promet d’apporter de nouvelles perspectives croisées sur ces questions cruciales.

Découvrez le programme

18 octobre et 22 novembre 2023
Les inégalités sociales et territoriales de santé dans le grand paris

La crise sanitaire liée à la Covid-19 a révélé l’importance des déterminants sociaux de santé, montrant les incidences sanitaires des inégalités de conditions de vie, de travail, de logement et de cadre de vie. Elle a également mis à l’épreuve la résilience du système de soins dans le Grand Paris. 


Trois ans plus tard, quelles tendances se dessinent en matière d’offre de soins ? Quels sont les déterminants du recours et du non-recours ? Quelles initiatives se développent en matière de santé publique ? Quelles perspectives envisager pour les années à venir ?

 

A l’occasion de la publication de l’étude consacrée aux inégalités sociales et territoriales de santé, l’Atelier parisien d’urbanisme, l’École urbaine et la Chaire santé de Sciences Po, organisent deux conférences-débats réunissant les partenaires de l’étude (Ville de Paris - Direction de la Santé Publique, Métropole du Grand Paris, AP-HP, Conseil départemental de Seine-Saint-Denis, Société du Grand Paris, Agence Régionale de Santé, Caisse Primaire d’Assurance Maladie, Observatoire Régional de Santé, Ekopolis), collectivités, porteurs de projets et chercheurs. 

 

PROGRAMME


Le mercredi 18 octobre 2023 - de 17h à 19h

Offre de santé, recours aux soins et inégalités territoriales dans le Grand Paris

Ouverture des portes à 16h45


17h - Introduction

  • Alexandre Labasse, Directeur Général, Atelier parisien d’urbanisme
  • Daniel Benamouzig, Directeur de recherche CNRS, Chaire Santé de Sciences Po
  • Tommaso Vitale, Doyen de l’Ecole urbaine, Sciences Po

 

17h10 - Présentation de l’étude « Inégalités sociales et territoriales de santé dans le Grand Paris »

Emilie Moreau et Clément Boisseuil, Atelier parisien d’urbanisme
 
17h40 - Table-ronde « Quelles dynamiques en matière d’offre de soins dans le Grand Paris ? Comment lutter contre le non-recours aux soins et aux dispositifs de prévention ? »

  • Eve Plenel, Directrice de la Santé Publique, Ville de Paris
  • Raynal Lemay, Directeur Général, Caisse Primaire d’Assurance Maladie de Paris
  • Eve Robert, Directrice Générale Adjointe des Solidarités, Conseil Départemental de Seine-Saint-Denis
  • Ayden Tajhamady, Directeur de la stratégie et de la transformation, Assistance Publique des Hôpitaux de Paris

18h40 - Ouverture et perspectives d’études et de recherche

  • Stéphanie Vandentorren, Coordinatrice Programme Inégalités sociales et territoriales de santé, Santé publique France
  • Tommaso Vitale, Doyen de l’Ecole urbaine, Sciences Po
  • Emilie Moreau, Directrice d’études, Atelier parisien d’urbanisme

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Le mercredi 22 novembre 2023 de 17h à 19h

La santé publique sur le terrain : quelles initiatives et quelle diffusion dans le Grand Paris ?

Ouverture des portes à 16h45

 

17h - Mot d’accueil

  • Emilie Moreau, Directrice d’études, Apur - Atelier parisien d'urbanisme
  • Ilaria Milazzo, Directrice exécutive de l'École urbaine de Sciences Po

 

17h05 - Présentation de l’étude « Actions en santé publique : sensibilisation, promotion et prévention »

Clément Boisseuil, Chef de projets études sociales et de santé, Atelier parisien d’urbanisme

 

17h20 - Débat - « S’engager autrement pour la santé »


  • Jean-Marie Blanchoz, Responsable du Pôle Education et Promotion de la Santé, Conseil Départemental de Seine-Saint-Denis
  • Nacer Leshaf, Chef du pôle santé mentale, Direction de la Santé Publique, Ville de Paris
  • Etienne Nouguez, Chargé de recherche CNRS, Centre de sociologie des organisations, Sciences Po

 

18h - Débat - « Inscrire la santé dans les politiques territoriales »


  • Caroline Izambert, Cheffe de service promotion de la santé et réduction des risques, Ville de Paris
  • Louis Lederer-Pelouard, Chef de projets stratégie environnementale et sociétale, Société du Grand Paris 
  • Nadège Vezinat, Professeure de sociologie à l'Université Paris 8 et membre du CRESPPA

 

18h40 - Ouverture

▫ Luc Ginot, Directeur de la Santé Publique, Agence Régionale de Santé (ARS) Île-de-France

▫ Daniel Benamouzig, Directeur de recherche CNRS, Chaire santé, Sciences Po

28 juin 2022

VERS UNE POLITIQUE EUROPEENNE DE LA SANTE

Replay du colloque

LES PRATIQUES AVANCÉES 

Cycle 2019 des Tribunes de la santé "Des outils pour faire évoluer le système de santé" en partenariat avec Le Concours médical

Conférence le 7 novembre d' Antoine TESNIERE, professeur d’anesthésie réanimation à l’Hôpital Cochin, AP-HP,  Directeur du département de simulation en santé iLumens, Université Paris Descartes, et de Michel VARROUD-VIAL, médecin, conseiller soins primaires et professionnels libéraux à la Direction générale de l'offre de soins (DGOS), Ministère des Solidarités et de la Santé

Pour en savoir plus

Cycle 2019 des Tribunes de la santé "Des outils pour faire évoluer le système de santé" en partenariat avec Le Concours médical

LES COMMUNAUTÉS PROFESSIONNELLES TERRITORIALES DE SANTÉ (CPTS)

Conférence le 10 octobre de Stéphanie RIST, médecin rhumatologue, députée de la première circonscription du Loiret, et Raphaël ROGEZ, Président de l’URPS, Médecins Libéraux Centre-Val de Loire

Pour en savoir plus

LA REVOLUTION DE LA THÉRAPIE GÉNIQUE : LES ENJEUX D'INDEPENDANCE SANITAIRE NATIONALE ET D'ACCESSIBILITÉ AUX MÉDICAMENTS DE THÉRAPIE INNOVANTE 

Colloque le 17 septembre 2019 en partenariat avec l'AFM-TELETHON

Consultez les actes du colloque (PDF, 1.39 Mo)

Consultez le programme (PDF, 697 Ko)

Cycle 2019 des Tribunes de la santé "Des outils pour faire évoluer le système de santé"en partenariat avec Le Concours médical 

UN SYSTÈME DE SANTÉ PLUS INCLUSIF SELON L'OMS

Conférence le 12 septembre d'Agnès SOUCAT, Directrice de la gouvernance et du financement des systèmes de santé à l'Organisation mondiale de la Santé (OMS)

Pour en savoir plus

LE RÔLE DES CHU

Cycle 2019 des Tribunes de la santé "Des outils pour faire évoluer le système de santé", en partenariat avec Le Concours médical

Conférence le 6 juin, Benoît VALLET, professeur associé, Ecole d'Affaires publiques de Sciences Po, membre de la Chaire santé 

Pour en savoir plus

QUELLE SANTÉ MONDIALE VOULONS-NOUS POUR DEMAIN ?

Colloque en partenariat avec le Think Tank Santé mondiale 2030 le 5 juin 2019

  • Jean-François DELFRAISSY, président du Conseil Consultatif National d’Éthique, président du Think Tank Santé mondiale 2030
  • Gilles DUHAMEL, responsable de la Chaire santé de Sciences Po
  • Stéphanie TCHIOMBIANO, coordinatrice du Think Tank Santé mondiale 2030

Table ronde 1 : Dispositif institutionnel français en santé mondiale, modération par Louis PIZARRO, Directeur général de l'ONG SOLTHIS

Table ronde 2 : Quel futur pour le fonds mondial ? Modération par Michel KAZATCHKINE, ancien directeur général du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme.

Clôture : Françoise BARRE SINOUSSI, Prix Nobel de médecine 2008 

EXPÉRIMENTATIONS ORGANISATIONNELLES INNOVANTES DU SYSTÈME DE SANTÉ 

Cycle 2019 des Tribunes de la santé "Des outils pour faire évoluer le système de santé", en partenariat avec Le Concours médical

Conférence le 21 mars

  • Dominique POLTON, Vice présidente du Conseil stratégique de l'innovation en santé (article 51, LFSS 2018)
  • Natacha LEMAIRE, rapporteure générale

en partenariat avec Le Concours médical 

Pour en savoir plus

L'INTELLIGENCE ARTIFICIELLE

Cycle 2019 des Tribunes de la santé "Des outils pour faire évoluer le système de santé", en partenariat avec Le Concours médical Confèrence le 7 février

  • Etienne GRASS, Executive VP, Head of Citizen Services, Capgemini Consulting, membre de la Chaire santé
  • David GRUSON, Fondateur de l'initiative Ethik-IA, membre de la Chaire santé 

Pour en savoir plus

 

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