Olivier Dabène (Dir.)
Amérique latine. L’Année politique 2022 est une publication de l’Observatoire politique de l’Amérique latine et des Caraïbes (Opalc) du CERI-Sciences Po. Il prolonge la démarche du site www.sciencespo.fr/opalc en offrant des clés de compréhension d’un continent en proie à des transformations profondes.
Comment citer ce volume : Olivier Dabène (Dir.), Amérique latine. L’Année politique 2022/ Les Études du CERI, n°259-260, janvier 2023, [en ligne, www.sciencespo.fr/ceri/fr/papier/etude].
Olivier Dabène (Dir.)
Amérique latine. L’Année politique 2021 est une publication de l’Observatoire politique de l’Amérique latine et des Caraïbes (Opalc) du CERI-Sciences Po. Il prolonge la démarche du site www.sciencespo.fr/opalc en offrant des clés de compréhension d’un continent en proie à des transformations profondes.
Olivier Dabène (Dir.)
Amérique latine - L’Année politique 2020 est une publication de l’Observatoire politique de l’Amérique latine et des Caraïbes (Opalc) du CERI-Sciences Po. Elle prolonge la démarche du site www.sciencespo.fr/opalc en offrant des clés de compréhension d’un continent en proie à des transformations profondes.
Observatoire politique de l’Amérique latine et des Caraïbes de Sciences Po
Amérique latine - L’Année politique 2018 est une publication de l’Observatoire politique de l’Amérique latine et des Caraïbes (Opalc) du CERI-Sciences Po. Elle prolonge la démarche du site www.sciencespo.fr/opalc en offrant des clés de compréhension d’un continent en proie à des transformations profondes.
Observatoire politique de l’Amérique latine et des Caraïbes de Sciences Po
Amérique latine - L’Année politique 2017 est une publication de l’Observatoire politique de l’Amérique latine et des Caraïbes (Opalc) du CERI-Sciences Po. Il prolonge la démarche du site www.sciencespo.fr/opalc en offrant des clés de compréhension d’un continent en proie à des transformations profondes.
Kevin Parthenay
En Amérique latine comme dans le reste du monde, les organisations régionales et sous-régionales se sont récemment multipliées. Les chercheurs s’intéressent principalement à la variété des régionalismes ou à leur nature changeante (post-libérale, post-hégémonique...). Pour aller au-delà de ces questionnements, il faut travailler sur les régions latino-américaines et leurs acteurs à la lumière d’une approche de sociologie politique du régionalisme. L’observation des secrétaires généraux régionaux du sous-continent est précieuse si l’on veut comprendre l’émergence de pouvoirs régionaux. Cette réflexion, qui s’intéresse particulièrement ici à l’Union des nations sud-américaines (Unasur), à la Communauté andine des nations (CAN), au Marché commun du Sud (Mercosur) et au Système d’intégration centraméricaine (Sica) permet d’apporter une réponse plus précise à la question de la configuration du pouvoir dans les régionalismes latino-américains.
Alvaro Artigas
Si l’Amérique du Sud a connu une trajectoire de croissance économique ininterrompue au cours des deux dernières décennies, elle reste confrontée à une intégration énergétique qui marque le pas face à un développement industriel et urbain très dynamique. Bien que plusieurs mécanismes d’intégration coexistent, la mutualisation des nombreuses ressources du continent est décevante et menace à terme la sécurité énergétique de l’ensemble des pays. Plusieurs facteurs contribuent à cette situation. D’une part, le format de l’intégration régionale n’a pas permis de mettre en place des mécanismes supranationaux de coordination et de résolution des différends. D’autre part, dans un climat de suspicion mutuelle, les Etats nationaux associent la sécurité à l’autosuffisance, et les avantages potentiels d’une intégration des réseaux et des marchés sont dès lors occultés. L’exemple du Chili et du Pérou met en évidence les dynamiques à l’œuvre ainsi que les bénéfices et les avantages d’une coordination sectorielle transversale parallèle à l’action des diplomaties nationales en la matière. Ce format d’intégration, qui se caractérise par une réduction de l’intervention publique et par une minimisation des désaccords territoriaux, constitue-t-il un modèle alternatif viable ?
Doris Buu-Sao
Laetitia Perrier-Bruslé