Disparition de Jean-Philippe Legois

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Décès de Jean-Philippe Legois, historien et archiviste, spécialiste des mouvements étudiants

Vice-président du Germe (Groupe d'études et de recherches sur les mouvements étudiants), co-président de la Cité des mémoires étudiantes, responsable des archives municipales dans le Val d'Oise et Seine-Saint-Denis, Jean-Philippe fut aussi chercheur associé au Centre d'histoire de Sciences Po.

Avec Robi Morder, il anima de 2001 à 2019 un de nos séminaires de recherche : Institution universitaire et mouvements étudiants. Grand spécialiste de mai 68, il y avait notamment rencontré René Rémond pour parler de Nanterre et avait organisé différents événements dont un beau colloque organisé février 2004  : "Institution universitaire et mouvements étudiants : entre intégration et rupture ?".

Son engagement et sa bonne humeur vont nous manquer.

Jean-Philippe Legois et Jean-Louis Violeau (dir.), Institution universitaire et mouvements étudiants : entre intégration et rupture ?, L'Harmattan, 2020

Robi Morder, "Passeur inlassable, Jean-Philippe Legois, l'archiviste, l'historien, l'ami", site du Germe, 29/03/2024

Documentaire La révolution des œillets

Invitation à l'avant-première
Lundi 15 avril, 19h15

 INSCRIPTION OBLIGATOIRE
(réservations dans la limite des places disponibles)

Jakob Vogel au Centre Marc Bloch

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C'est au tour de Jakob Vogel de partir en mission au Centre Marc Bloch à Berlin. Invité à un Workshop "Hard Histories" organisé par Martha Jones, au Wissenschaftskollg de Berlin du 25 au 27 mars, Jakob Vogel y parlera de l'histoire coloniale de Sciences Po et de l'exposition "Sciences Po, une histoire coloniale" organisée en mars 2017 par Pap Ndiaye et Jakob Vogel, qui avait mis en lumière des documents issus de fonds d'archives et de collections de Sciences Po.

▸ Programme du Workshop Hard Histories

▸ Dossier "Sciences Po, une histoire coloniale"

Folie et psychiatrie

11/04/2024 | Journée d'études
  • Hôpital Choquan - Domaine publicHôpital Choquan - Domaine public

Folie et psychiatrie pendant et après les guerres de décolonisation (XXe-XXIe siècles)

 

Co-organisation : Centre Marc Bloch (CMB) – Centre d’histoire de Sciences Po (CHSP).

Cofinancement : ERC MaDAf – CHSP.

Équipe d’organisation : Gina AÏT MEHDI (ULB/LAMC) – Élodie CHARIÉ (CHSP) – Claire EDINGTON (University of California - San Diego) – Camille EVRARD (CNRS/IMAF) – Raphaël GALLIEN (CNRS/IMAF) – Anatole LE BRAS (CHEP) – Louise GUTTIN-VINDOT (CHSP/CHS) – Paul MARQUIS (CNRS/IMAF) – Guillaume PIKETTY (CHSP) – Romain TIQUET (CNRS/Centre Marc Bloch Berlin)

Cette journée d’études se propose de réunir des historiens et historiennes sur le thème de la folie et de la psychiatrie pendant et après les guerres de décolonisation. Son ambition est d’interroger la spécificité des guerres de décolonisation en matière de santé et d’assistance mentale. Quelle est l’influence de tels conflits sur le psychisme des populations civiles et militaires ? Les formes de violences et les configurations propres aux guerres de décolonisation génèrent-elles des atteintes psychiques spécifiques ? Comment la psychiatrie est-elle transformée par l’expérience des guerres de décolonisation ? Plus généralement, la journée devrait permettre d’interroger, sous l’angle du psychisme, la violence des transitions du colonial au post-colonial.

Programme

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