Offre Contrat doctoral 2022-2025
Offre Contrat doctoral 2022-2025 – Appel à candidatures
Dans le cadre de l’IDEX Université Paris Cité, le LARCA-UMR8225 propose un contrat doctoral fléché d’une durée de 3 ans pour la réalisation d’une thèse en histoire contemporaine. Ce contrat pourra éventuellement être complété par une mission d’enseignement de 64 h maximum. La direction de cette thèse sera assurée en codirection par Daniel Foliard (Université Paris Cité, Professeur en histoire britannique, UFR d’Etudes anglophones, LARCA UMR 8225) et Quentin Deluermoz (Université Paris Cité, Professeur d’histoire contemporaine, Laboratoire de recherches ICT – Les Europes dans le monde).
En lien avec les axes de recherche critiques développés par le LARCA (https://larca.u-paris.fr/ ) et ICT-Les Europes dans le monde (https://ict.u-paris.fr/ ), il s’agira pour le.a doctorant.e de mener un projet de recherche en histoire portant sur les images (notamment photographiques) et leurs circulations durant le long XIXe siècle. Ce projet devra adopter une échelle transnationale, voire globale, et traiter a minima des archives et contextes britanniques et français.
Les candidat.e.s peuvent consulter le site du projet EyCon (https://eycon.hypotheses.org/) et celui du séminaire « Histoires globales : une entrée par le sensible ( XVIIIe– XIXe siècle) » (https://ict.u-paris.fr/agenda/histoires-globales-une-entree-par-le-sensible-xviiie-xxe-siecle) pour se familiariser avec certaines des problématiques abordées par le LARCA et ICT-Les Europes dans le monde.
Profil et compétences requises
Le candidat ou la candidate doit avoir soutenu un Master (études visuelles, civilisation anglophone, histoire) portant sur la période contemporaine et doit disposer d’une très bonne capacité rédactionnelle, d’une parfaite connaissance des lieux de recherche et des ressources en ligne pertinents pour l’étude du XIXe siècle. Une excellente maîtrise de l’anglais écrit et parlé est absolument nécessaire. Les candidatures portent sur un projet d’inscription en thèse en septembre 2022.
Toute inscription en thèse a pour requis préalable l’obtention d’un diplôme de Master 2 Recherche ou équivalent. Les personnes inscrites en Master 2 en 2021-2022, et dont les résultats n’ont pas encore être délibérés par le jury compétent à la date fixée pour le dépôt du dossier peuvent candidater, en joignant à leur dossier le relevé des résultats déjà obtenus et une attestation de leur directrice ou directeur de mémoire de M2 concernant l’état d’avancement de ce projet et sa soutenance prévue.
Candidatures
Le dossier de candidature complet devra être adressé au plus tard sous format numérique le 15/06/2022 à minuit à l’adresse suivante : sylvain-karl.gosselet@cnrs.fr
Le dossier comprend (sous format PDF) :
– le formulaire de candidature ci-joint
– une lettre de motivation, adressée à la direction du LARCA
– un C.V (1 à 2 pages)
– un résumé du mémoire de Master 2 (1 page), avec titre et nom du.de la directeur.trice de recherche
– un projet de thèse (2 à 3 pages) et sa bibliographie détaillée
– la copie du relevé de notes de M2 (La mention « bien » est exigée)
Calendrier
- Lancement de la campagne : Avril 2022
- Clôture de la réception des dossiers de candidature : 15/06/2022 – minuit (heure de Paris)
- Auditions des candidates et candidats par le jury (en présentiel sauf contraintes sanitaires) : 27 juin 2022
- Résultats : 28 juin 2022
Prix de l'ARESER / Histoire de l'université
Prix de l’ARESER pour un doctorat portant sur l’enseignement supérieur et/ou la recherche
L’Areser, Association de réflexions sur les enseignements supérieurs et la recherche, a été fondée en 1992 par un groupe d’universitaires et de chercheurs qui entendaient réfléchir de manière critique mais constructive sur les évolutions en cours à l’heure de la deuxième massification. Trente ans plus tard, plusieurs lois ou réformes ont modifié notablement le paysage par rapport à cette époque. De nombreux mouvements de protestation n’ont pas réussi à détourner les mesures les plus négatives et les évolutions ont accentué les divisions et les décalages entre plusieurs enseignements supérieurs et plusieurs modèles de financement de la recherche. Cela contribue à décourager les enseignants chercheurs et les personnels administratifs, à rendre les carrières de plus en plus aléatoires et difficiles pour les plus jeunes, tandis que les modèles de gouvernance technocratiques fondés sur la compétition, le rôle croissant des financements externes, l’élévation des droits dans les secteurs les plus prisés ont complètement remis en cause l’idéal d’égalité, de démocratie et de participation qui fondait les avancées postérieures à 1968, voire à 1984. La crise sanitaire actuelle a mis clairement en lumière les faiblesses des institutions universitaires et le décrochage d’une partie de la recherche française au niveau international.
Plus que jamais le travail historique, sociologique et politique de réflexion sur ces domaines est donc indispensable pour essayer de produire les analyses et les propositions susceptibles d’éclairer les personnels, les étudiant(e)s, les citoyen(nes) et remobiliser les énergies. L’ARESER et ses animateurs ont contribué à ce travail à travers séminaires, colloques ou livres collectifs. Mais il faut assurer la relève et les animateurs de l’association ont décidé, à l’occasion des trente ans de l’association et du vingtième anniversaire du décès de son fondateur, Pierre Bourdieu, de créer un prix de 1000 euros pour couronner des travaux de sciences sociales et historiques (niveau doctorat) portant sur l’enseignement supérieur et / ou la recherche qui s’inscrivent dans cette perspective de lier analyses scientifiques et éclairage pour l’avenir.
Les travaux seront évalués par un jury d’experts couvrant un panel relativement large de disciplines : histoire (générale, comparative, de l'éducation, intellectuelle, des disciplines universitaires), sociologie, science politique, économie de l'éducation. Les travaux peuvent porter sur la France ou surd’autres pays et devront avoir été soutenus en France dans les trois années (2020, 2021, 2022) qui précédent leur remise au jury à la date limite du 1er juillet 2022. Le prix sera décerné à l’automne de la même année. En cas d’ex-aequo pour la première place, il pourra être divisé.
Les manuscrits et le résumé ou rapport sous forme d’un fichier pdf électronique devront être envoyés à l’adresse suivante : christophe.charle@ens.fr et charles.soulie@neuf.fr
Ils devront être accompagnés du rapport de soutenance et d’un résumé d’une page afin qu’ils puissent être distribués à tous les membres du jury en dehors des rapporteurs.
Il serait préférable qu’ils soient en français mais les doctorats en langue anglaise sont admis.
Le bureau de l’ARESER (président C.Charle, secrétaire, C. Soulié).
Mettre en valeur les empires XIXe-XXe siècles | CHSP
- Actualité Sciences Po
Mettre en valeur les empires : XIXe-XXe siècles
9-10 novembre 2022
Centre d'histoire de Sciences Po
Organisateurs :
- Evan Bonney (Centre d’histoire de Sciences Po – evan.bonney@sciencespo.fr)
- Thomas Irace (Université de Picardie Jules Verne – th.irace@gmail.com)
- Blaise Truong-Loï (Centre d’histoire de Sciences Po – blaise.truongloi@sciencespo.fr)
Comité scientifique :
- Hélène Blais (École normale supérieure)
- Emmanuelle Sibeud (Université Paris-8)
- David Todd (Sciences Po)
- Moritz von Brescius (Université de Berne et université d’Harvard)
Argumentaire
L’activité économique, entendue dans son sens le plus large, a longtemps préoccupé l’histoire impériale et coloniale de langue française, au point que certains auteurs nouèrent explicitement le dialogue avec l’économie politique de leur époque [Suret-Canale, 1961 ; Marseille, 1984 ; Bouvier et al., 1986]. Ce thème a ensuite été relativement délaissé dans la littérature des décennies 1990-2000 [citons cependant Bonin et al. (dir), 2008 ; Lefeuvre, 1997 ; Etemad, 2000], alors même que l’histoire coloniale et impériale gagnait en visibilité et connaissait des débats passionnés en dialogue avec les théories post-coloniales [Cooper & Stoler, 1997; Sibeud, 2007]. Sans doute le même constat de marginalisation vaudrait-il pour l’espace académique anglophone, mais avec une nuance supplémentaire : là, après des débuts tout aussi incertains, les pratiques économiques paraissent désormais bien intégrées au renouveau de l’histoire des empires, de même que les représentations, théories, et discours dont elles s’accompagnent [voir par exemple Cooper 1996 ; Goswami 2004 ; Tomlinson 2014 ; Young 2018 ; Todd, 2021].
Ce colloque aurait pour ambition de contribuer à ce dialogue en plein essor en incluant à l’histoire économique des empires les apports de deux champs de recherches particulièrement dynamiques depuis quelques années: la nouvelle histoire du capitalisme d’un côté et l’histoire environnementale de l’autre. La nouvelle histoire du capitalisme a défendu l’intérêt des méthodes développées en histoire sociale, culturelle et politique pour mieux analyser les phénomènes économiques contemporains [Barreyre & Blin, 2017]. Elle a contribué à replacer le concept de capitalisme au cœur de la recherche en sciences sociales [Kocka & Van der Linden, 2016; Piketty, 2019; Lemercier & François, 2020]. Si elle s’est développée à partir d’études sur le terrain étasunien [Beckert & Desan, 2018], elle s’efforce de plus en plus de réfléchir à l’intégration de parties croissantes du monde dans le système capitaliste, notamment en étudiant le rôle joué par les impérialismes occidentaux dans ce processus [Parisot, 2020; Jakes, 2020]. Initialement critiquée pour ne pas proposer de définition du terme de capitalisme, elle s’est récemment, sous l’impulsion de certains auteurs, attelée à conceptualiser cette “forme de vie économique où la logique économique du processus capital [soit “l’assignation à une propriété légale d’une valeur pécuniaire par anticipation d’un probable revenu pécuniaire dans le futur”] devient à la fois habituelle et dominante” [Levy, 2017].
De son côté, l'histoire environnementale a replacé les interactions entre les hommes et leur environnement au coeur des préoccupations historiographiques. Elle a notamment étudié les processus par lesquels des ressources naturelles acquièrent une valeur économique et s'est penchée sur l'agency de ces mêmes éléments naturels (l'eau, les animaux, le feu...) dans l'histoire des sociétés humaines [Blackbourn, 2006; Baratay 2012; Pyne, 2019]. Les spécialistes de ce champ s'intéressent par ailleurs depuis longtemps aux sociétés coloniales, qui ont fait l'objet de politiques d'extraction conduites au détriment de l'écologie locale et des peuples colonisés (Beinart & Hughes, 2007; Ross, 2017; Blais, 2019).
Ce colloque aurait alors pour objectif d’analyser comment l’expansion impériale entraîne, et est entraînée par, des processus de valorisation économique d'éléments naturels situés hors de métropole (forêts, terres, minerais, céréales, cheptels…). Son ambition serait ainsi de réinterroger l’histoire impériale à l’aune de l’extension du “processus capital” aux environnements et aux sociétés que dirigent formellement ou qu’influencent informellement les grandes puissances impériales. Il se proposerait ce faisant d’étudier la manière dont les empires sont, littéralement, mis en valeur. Si nous reprenons volontairement cette expression de l’âge d’or des empires coloniaux [par exemple Sarraut, 1923], c’est parce qu’elle nous paraît faire écho aux préoccupations historiographiques actuelles. Par ce terme, nous souhaitons en effet mettre l’accent sur les processus par lesquels les empires acquièrent une valeur économique en raison de l’identification de ressources en leur sein. Ce colloque entreprendrait par ailleurs évidemment d’étudier les empires européens d’outre-mer, mais accueillerait aussi très volontiers des communications sur les empires continentaux russe, ottoman ou austro-hongrois [Dullin, 2021; Türesay, 2013; Judson, 2021] ainsi que sur les empires américains ou japonais [Moore, 2017; Fedman, 2020]. Se concentrant sur les xixe et xxe siècles, il encouragerait à la fois la soumission de propositions basées sur des études de cas précises et la proposition de projets comparatifs, de plus long terme et/ou historiographiques.
Axes problématiques
Il serait suggéré aux intervenants d’articuler leur réflexion autour des axes problématiques suivants:
- Les acteurs, les techniques et les objets de la mise en valeur économique des empires. Il s’agirait ici de se demander ce qui fait qu’un territoire impérial est à un moment donné valorisé. Qu’est-ce qui est jugé comme ayant potentiellement de la valeur ? Comment extraire ou maximiser cette dernière ? Et quels groupes sociaux sont moteurs dans ces processus ? Cela pourrait être l’occasion de revenir sur les travaux consacrés au rapport du patronat à l’empire, aux régimes de mobilisation de la force de travail ou au mécanisme de la concession mais également de souligner l’importance d’acteurs parfois négligés dans l’histoire impériale, comme les organisations internationales.
- Les conséquences de la mise en valeur sur les sociétés impériales. La valorisation économique bouleverse-t-elle les rapports préexistants à l’environnement ? Si oui, comment ? Cela se fait-il sans heurts ou cela entraîne-t-il au contraire des conflits ? De la même manière, les nouveaux régimes d’exploitation des colonies sont-ils toujours bien acceptés ou sont-ils parfois contestés ? Et qu’en est-il en métropole ?
- L’articulation étroite entre les transformations environnementales des territoires impériaux et l’insertion de ces derniers dans des connexions globales. Comment, par exemple, les investissements venus de métropole entraînent-ils la mise en valeur de nouveaux pans des sociétés impériales et comment, en retour, ces techniques de mise en valeur permettent-elles de générer des capitaux qui sont ensuite réexportés dans d’autres régions du globe ? Ou encore, en quoi les techniques de mise en valeur des environnements impériaux font-elles l’objet de circulations entre différents endroits de la planète ?
Modalités de candidature et organisation
Pour soumettre une proposition, merci d’envoyer un résumé de la communication envisagée (entre 100 et 500 mots) ainsi qu’un court CV d’ici au 15 juin à valuing.empires@gmail.com.
Le colloque junior, organisé par des doctorants, est à destination des jeunes chercheuses et chercheurs (doctorant.e.s ou jeunes docteur.e.s).
Les frais de déplacement et/ou d’hébergement pourront être pris en charge dans la limite du budget disponible. Merci de signaler lors de votre candidature si vous souhaitez que nous participions à financer votre séjour à Paris et si oui d’où vous arriveriez.
Bibliographie
- Baratay, Éric, Le point de vue animal: une autre version de l’histoire, Le Seuil, 400 pages.
- Barreyre, Nicolas et Blin, Alexia, « À la redécouverte du capitalisme américain », Revue d’histoire du XIXe siècle, 2017, no 54, p. 135‑148.
- Beckert, Sven et Desan, Christine (dir.), American Capitalism: New Histories, New York, Columbia University Press, 2018, 432 pages.
- Beinart, William & Lotte Hughes, Environment and Empire, Oxford University Press, 2007, 416 pages.
- Blackbourn, David, The Conquest of Nature: Water, Landscape and the Making of Modern Germany, W.W. Norton, 2006, 480 pages.
- Blais, Hélène, « Pépinières coloniales : de la valeur des plantes des jardins botaniques au XIXe siècle », Revue d’histoire moderne et contemporaine, 2019, vol. 663, no 3, p. 81‑102.
- Bonin, Hubert, Hodeir, Catherine et Klein, Jean-François (dir.), L’Esprit économique impérial (1830-1970). Groupes de pression et réseaux du patronat colonial en France et dans l’empire, Paris, Publication de la SFHOM, 2008, 844 pages.
- Bouvier, Jean, Girault, René et Thobie, Jacques, L’impérialisme à la française, 1914-1960, La découverte, 1986.
- Colpitts, George, Pemmican Empire: Food, Trade, and the Last Bison Hunts in the North American Plains, 2014, 317 pages.
- Cooper, Frederick, Decolonization and African Society: the Labor Question in French and British Africa, Cambridge University Press, 1996
- Cooper, Frederick, Stoler, Ann Laura (dir.), Tensions of Empire, University of California Press, 1997
- Cronon, William, Nature’s Metropolis: Chicago and the Great West W.W. Norton, 1991, 556 pages.
- Dullin, Sabine, L'ironie du destin. Une histoire des Russes et de leur empire (1853-1991), Paris, Payot, “Petite bibliothèque Payot”, 2021, 300 pages.
- Etemad, Bouda, La Possession du monde: poids et mesures de la colonisation (XVIIIe-XXe siècles), Bruxelles, Complexe, 2000, 352 pages.
- Fedman, David, Seeds of Control: Japan’s Empire of Forestry in Colonial Korea, University of Washington Press, 2020, 320 pages.
- François, Pierre et Lemercier, Claire, Sociologie historique du capitalisme, Paris, La Découverte, 2021, 428 pages.
- Goswami, Manu, Producing India: from Colonial Economy to National Space, University of Chicago Press, 2004
- Jakes, Aaron, Egypt’s Occupation: Colonial Economism and the Crises of Capitalism, Stanford, Stanford University Press, 2020, 352 pages.
- Judson, Pieter M., L’Empire des Habsbourg: une histoire inédite, traduit par Johan-Frederik Hel-Guedj, Paris, Perrin, 2021, 750 pages.
- Kocka, Jürgen et Van der Linden, Marcel (dir.), Capitalism. The Reemergence of a Historical Concept, London ; New York, Bloomsbury Academic, 2016, 281 pages.
- Lefeuvre, Daniel, Chère Algérie. Comptes et mécomptes de la tutelle coloniale, 1930-1962, Société française d’histoire d’outre-mer, 1997
- Levy, Jonathan, « Capital as Process and the History of Capitalism », Business History Review, 2017, vol. 91, no 3, p. 483‑510.
- Marseille, Jacques, Empire colonial et capitalisme français. Histoire d’un divorce, Albin Michel, 1984
- Moore, Colin, American Imperialism and the State, 1893-1921, Cambridge University Press, 298 pages.
- Parisot, James, « Introduction: The Intersections of Capitalism and American Empire », Journal of Historical Sociology, 8 mars 2020, vol. 33, no 1, p. 1‑8.
- Piketty, Thomas, Capital et idéologie, Paris, Éditions du Seuil, 2019, 1197 pages.
- Pyne, Stephen, Fire: a brief history, University of Washington Press, 2019, 240 pages.
- Ross, Corey, Ecology and Power in the Age of Empire: Europe and the Transformation of the Tropical World, Oxford University Press, 2017, 488 pages.
- Sibeud, Emmanuelle, « Du postcolonialisme au questionnement postcolonial: pour un transfert critique », Revue d’histoire moderne et contemporaine, 2007, n°4, p. 142-155.
- Suret-Canale, Jean, Afrique Noire - l’ère coloniale (1900-1945), Editions Sociales, 1961
- Todd, David, A Velvet Empire: French Informal Imperialism in the Nineteenth Century, Princeton University Press, 2021
- Tomlinson, Jim, Dundee and the Empire: ‘Juteopolis’ 1850-1939, Edinburgh University Press, 2014
- Türesay, Özgür, « L’Empire ottoman sous le prisme des études postcoloniales. À propos d’un tournant historiographique récent », Revue d’histoire moderne et contemporaine, 2013, vol. 602, no 2, p. 127‑145.
- Young, Alden, Transforming Sudan: Decolonization, Economic Development and State Formation, Cambridge University Press, 2018
Un nouveau partenariat France Culture - Sciences Po
- Actualité Sciences Po
Un nouveau partenariat France Culture - Sciences Po
Sciences Po, à l'occasion de ses 150 ans, confie à France Culture ses cours magistraux, leçons inaugurales et passionnantes conférences qui seront enregistrées et proposées au grand public en collections thématiques sur le site de franceculture.fr et l'appli radiofrance.
Dès le 11 avril, France Culture et Sciences Po décrypteront le premier tour de l'élection présidentielle avec,
- de 7h à 9h Les Matins de Guillaume Erner : Nicolas Rousselllier
- 18h20-19h Le temps du débat d'Emmanuel Laurentin : Mathieu Fulla